Titre : |
Le peintre de la vie moderne |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Charles BAUDELAIRE, Auteur ; Jérôme SOLAL, Éditeur scientifique |
Editeur : |
Paris : Éd. Mille et une nuits |
Année de publication : |
2010 |
Collection : |
Mille et une nuits, ISSN 1251-6465 num. 567 |
Importance : |
1 vol. (100 p.) |
Présentation : |
couv. ill. |
Format : |
15 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-7555-0567-2 |
Prix : |
3 EUR |
Note générale : |
Bibliogr., 2 p. |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Français (fre) |
Catégories : |
(HISTOIRE ET THEORIE DE L'ART) CRITIQUE D'ART DANDYSME ECRIT SUR L'ART
|
Index. décimale : |
701 ART THEORIE |
Résumé : |
Les enjeux du goût sont toujours furieusement politiques et métaphysiques. Charles Baudelaire (1821-1867), l'amateur et critique d'art qui arpente les Salons, en a une conscience extrême. Contre l'académisme pompier, il lance son mort d'ordre : retour au présent, mais un présent revêtu de la Beauté éternelle. Dans son essai publié en feuilleton en 1863 qui passe pour l'acte de naissance de la modernité, il fait l'éloge de l'artifice, du maquillage et des parures, de la femme élégante, de la ville, du frivole et de l'horreur. Il développe une théorie du dandy. " La modernité, c'est le transitoire, le contingent, la moitié de l'art, dont l'autre moitié est l'éternel et l'immuable ". (note de l'éditeur) |
Le peintre de la vie moderne [texte imprimé] / Charles BAUDELAIRE, Auteur ; Jérôme SOLAL, Éditeur scientifique . - Paris : Éd. Mille et une nuits, 2010 . - 1 vol. (100 p.) : couv. ill. ; 15 cm. - ( Mille et une nuits, ISSN 1251-6465; 567) . ISBN : 978-2-7555-0567-2 : 3 EUR Bibliogr., 2 p. Langues : Français ( fre) Langues originales : Français ( fre)
Catégories : |
(HISTOIRE ET THEORIE DE L'ART) CRITIQUE D'ART DANDYSME ECRIT SUR L'ART
|
Index. décimale : |
701 ART THEORIE |
Résumé : |
Les enjeux du goût sont toujours furieusement politiques et métaphysiques. Charles Baudelaire (1821-1867), l'amateur et critique d'art qui arpente les Salons, en a une conscience extrême. Contre l'académisme pompier, il lance son mort d'ordre : retour au présent, mais un présent revêtu de la Beauté éternelle. Dans son essai publié en feuilleton en 1863 qui passe pour l'acte de naissance de la modernité, il fait l'éloge de l'artifice, du maquillage et des parures, de la femme élégante, de la ville, du frivole et de l'horreur. Il développe une théorie du dandy. " La modernité, c'est le transitoire, le contingent, la moitié de l'art, dont l'autre moitié est l'éternel et l'immuable ". (note de l'éditeur) |
| |