Jacqueline Salmon. Le point aveugle ; Périzoniums, études et variations / Jacqueline SALMON / Milan : Silvana Editoriale (2022)

Public ISBD Titre : Jacqueline Salmon. Le point aveugle ; Périzoniums, études et variations : [exposition, Arles, Musée Réattu, 2 juillet - 2 octobre 2022] Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacqueline SALMON, Photographe ; Daniel ROUVIER, Auteur ; Sébastien ALLARD, Auteur ; Andy NEYROTTI, Auteur ; Jean-Christian FLEURY, Auteur ; Guy LE GAUFEY, Auteur ; Patrick de CAROLIS, Préfacier, etc. ; Musée Réattu (Arles), Collectivité éditrice Editeur : Milan : Silvana Editoriale Année de publication : 2022 Importance : 1 vol. (313 p. -125 planches hors texte) Présentation : ill en noir et en coul. Format : 23 x 31 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-88-366-5238-9 Note générale : Références p.287-309 Langues : Français (fre) Catégories : CHRIST DETAIL DRAPE ICONOGRAPHIE PEINTURE RELIGIEUSE PHOTOGRAPHIE RELIGION SYMBOLE VETEMENT Index. décimale : 770.4 PHOTOGRAPHIE. Thématiques Résumé : Détail emblématique de toute Crucifixion devenu, grâce à Jacqueline Salmon, centre unique de l'attention (et plus seulement le milieu de la composition), le périzonium, privé par le gros plan de son contexte narratif ou religieux, court le risque de perdre une partie de sa force symbolique au profit de sa seule valeur formelle, qui renvoie elle-même à une typologie : celle du drapé. Mais le périzonium n'est justement pas un drapé comme un autre. Si la classification iconologique vise à rapporter la singularité à un type, quelque chose résiste dans ce cas précis, car ce morceau de tissu plissé, noué ou déployé est celui qui, ceignant les hanches du Christ, cache sa nudité sur la croix. Sa singularité ne peut donc être qu'irréductible, comme le symbolise sur certaines images, dans le cadrage fait par la photographe, un doigt pointant dans sa direction... Ces accidents, qui sont eux-mêmes des détails dans le nouveau tout proposé par le cadrage décidé par Jacqueline Salmon, provoquent le suspens du regard, une forme de stase qui rompt la ligne, souligne la tension œuvre/image et renvoie à la singularité du regard de la photographe qui, en cadrant, tranchant, découpant, décompose pour mieux recomposer. (4e de couv.) Jacqueline Salmon. Le point aveugle ; Périzoniums, études et variations : [exposition, Arles, Musée Réattu, 2 juillet - 2 octobre 2022] [texte imprimé] / Jacqueline SALMON, Photographe ; Daniel ROUVIER, Auteur ; Sébastien ALLARD, Auteur ; Andy NEYROTTI, Auteur ; Jean-Christian FLEURY, Auteur ; Guy LE GAUFEY, Auteur ; Patrick de CAROLIS, Préfacier, etc. ; Musée Réattu (Arles), Collectivité éditrice . - Milan : Silvana Editoriale, 2022 . - 1 vol. (313 p. -125 planches hors texte) : ill en noir et en coul. ; 23 x 31 cm. ISBN : 978-88-366-5238-9 Références p.287-309 Langues : Français (fre) Catégories : CHRIST DETAIL DRAPE ICONOGRAPHIE PEINTURE RELIGIEUSE PHOTOGRAPHIE RELIGION SYMBOLE VETEMENT Index. décimale : 770.4 PHOTOGRAPHIE. Thématiques Résumé : Détail emblématique de toute Crucifixion devenu, grâce à Jacqueline Salmon, centre unique de l'attention (et plus seulement le milieu de la composition), le périzonium, privé par le gros plan de son contexte narratif ou religieux, court le risque de perdre une partie de sa force symbolique au profit de sa seule valeur formelle, qui renvoie elle-même à une typologie : celle du drapé. Mais le périzonium n'est justement pas un drapé comme un autre. Si la classification iconologique vise à rapporter la singularité à un type, quelque chose résiste dans ce cas précis, car ce morceau de tissu plissé, noué ou déployé est celui qui, ceignant les hanches du Christ, cache sa nudité sur la croix. Sa singularité ne peut donc être qu'irréductible, comme le symbolise sur certaines images, dans le cadrage fait par la photographe, un doigt pointant dans sa direction... Ces accidents, qui sont eux-mêmes des détails dans le nouveau tout proposé par le cadrage décidé par Jacqueline Salmon, provoquent le suspens du regard, une forme de stase qui rompt la ligne, souligne la tension œuvre/image et renvoie à la singularité du regard de la photographe qui, en cadrant, tranchant, découpant, décompose pour mieux recomposer. (4e de couv.)

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Musée Réattu / Christian Lacroix / Musée Réattu (Arles) / Arles : Actes Sud (2008)

Public ISBD Titre : Musée Réattu / Christian Lacroix : [exposition, Arles, Musée Réattu, 17 mai - 31 décembre 2008] Type de document : texte imprimé Auteurs : Musée Réattu (Arles), Collectivité éditrice ; Christian LACROIX, Auteur ; Michèle MOUTASHAR, Préfacier, etc. Editeur : Arles : Actes Sud Année de publication : 2008 Importance : 1 vol. (176 p.) Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. Format : 29 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7427-7624-5 Prix : 39 EUR Langues : Français (fre) Catégories : ART CONTEMPORAIN EXPOSITION MUSEE REATTU/CHRISTIAN LACROIX LACROIX Christian MODE MUSEE REATTU Index. décimale : 707.4 CATALOGUES D'EXPOSITION. France Résumé : Avec cette carte blanche offerte à Monsieur Christian Lacroix, c'est à l'un de ses plus célèbres rêveurs que le musée s'adresse en le conviant à investir l'intégralité du palais Renaissance dont il avait fait, adolescent, le but hebdomadaire des ses écoles buissonnières et le laboratoire de ses rêves d'artiste. Hommage à ce lieu magnétique, le dispositif singulier imaginé par Monsieur Christian Lacroix compose comme une "autobiographie légère, vagabonde, songeuse" où il est aussi bien question de coutumes, de Minotaure, de Picasso, de géographie, d'antique et de contemporain, de nord et de sud, que de corps, de coupe, de drapé, et de chevelure... : une sorte de grand atelier vivant, où l'auteur mêle dans des tête-à-tête inédits les collections anciennes et contemporaines du musée, les œuvres de ses invités - pas moins de 15 artistes- au foisonnement de ses propres créations. (note de l'éditeur) Musée Réattu / Christian Lacroix : [exposition, Arles, Musée Réattu, 17 mai - 31 décembre 2008] [texte imprimé] / Musée Réattu (Arles), Collectivité éditrice ; Christian LACROIX, Auteur ; Michèle MOUTASHAR, Préfacier, etc. . - Arles : Actes Sud, 2008 . - 1 vol. (176 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 29 cm. ISBN : 978-2-7427-7624-5 : 39 EUR Langues : Français (fre) Catégories : ART CONTEMPORAIN EXPOSITION MUSEE REATTU/CHRISTIAN LACROIX LACROIX Christian MODE MUSEE REATTU Index. décimale : 707.4 CATALOGUES D'EXPOSITION. France Résumé : Avec cette carte blanche offerte à Monsieur Christian Lacroix, c'est à l'un de ses plus célèbres rêveurs que le musée s'adresse en le conviant à investir l'intégralité du palais Renaissance dont il avait fait, adolescent, le but hebdomadaire des ses écoles buissonnières et le laboratoire de ses rêves d'artiste. Hommage à ce lieu magnétique, le dispositif singulier imaginé par Monsieur Christian Lacroix compose comme une "autobiographie légère, vagabonde, songeuse" où il est aussi bien question de coutumes, de Minotaure, de Picasso, de géographie, d'antique et de contemporain, de nord et de sud, que de corps, de coupe, de drapé, et de chevelure... : une sorte de grand atelier vivant, où l'auteur mêle dans des tête-à-tête inédits les collections anciennes et contemporaines du musée, les œuvres de ses invités - pas moins de 15 artistes- au foisonnement de ses propres créations. (note de l'éditeur)

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L000010300	707.4 MUS	Catalogue	Limoges - Bibliothèque/Documentation	0 ARTS DECORATIFS	Disponible

Oser la photographie / Musée Réattu (Arles) / Milan : Silvana Editoriale (2015)

Public ISBD Titre : Oser la photographie : 50 ans d'une collection d'avant-garde à Arles : [exposition, Arles, Musée Réattu, 4 juillet 2015-6 janvier 2016] Type de document : texte imprimé Auteurs : Musée Réattu (Arles), Auteur ; Pascale PICARD, Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Milan : Silvana Editoriale Année de publication : 2015 Importance : 1 vol. (383 p.) Présentation : ill. en noir et en coul. Format : 28 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-88-366-3126-1 Prix : 39 EUR Note générale : Index p. 362-377, bibliogr. p. 378-382 Langues : Français (fre) Catégories : COLLECTION MUSEE REATTU PHOTOGRAPHIE Index. décimale : 770.74 PHOTOGRAPHIE. Catalogues d'exposition Résumé : 1965, naissance de la première collection publique de photographies dans un musée des beaux-arts français. C’était à Arles au musée Réattu. Jean-Maurice Rouquette, conservateur, et Lucien Clergue, photographe, osent un projet d’avant-garde dont découlera le festival des Rencontres d’Arles, l’École Nationale Supérieure de la Photographie (ENSP) mais aussi la reconnaissance absolue de la photographie en France. L’exposition de l’été 2015 célèbre le chemin parcouru et propose un retour aux sources de l’histoire singulière de cette collection unique composée, dès la première année, de 330 tirages choisis par des photographes et des collectionneurs motivés par l’enjeu d’un projet muséal. Ce parti pris revendiquait la place d’un art photographique qui, comme une évidence, venait s’écrire au musée Réattu dans la continuité de la grande peinture d’histoire, celle de Jacques Réattu. Le 28 mai 1965, le musée Réattu préside à la naissance d’un 8e art en devenir et offre ses cimaises à la jeune collection. Arles découvre alors Ansel Adams, Richard Avedon, Cecil Beaton, Peter Beard, Robert Doisneau, Lucien Hervé, Izis, Germaine Krull, Dora Maar, Man Ray, Paul Strand, Edward Weston… Les décennies suivantes verront entrer Brassaï, Édouard Boubat, Henri Cartier-Bresson, Imogen Cunningham, Mimmo Jodice, André Kertész, William Klein, Sarah Moon, Bernard Plossu, Willy Ronis, Jeanloup Sieff… Depuis, 5 000 tirages éclairent l’histoire d’une pratique photographique sans cesse enrichie de nouvelles acquisitions, qu’il s’agisse de commandes publiques, de dépôts ou de dons. Le développement grandissant de ce département dévore l’identité du musée et appelle au bilan au travers d’une sélection de 210 photographies qui exprime l’état d’un art mutant au gré d’un parcours animé par un questionnement fondamental : qu’est-ce que la photographie apporte à l’art ? De la photographie narrative à la frivolité de la couleur, la radicalité de l’image s’impose et permet d’évoquer le devenir et le développement de cette collection avec, en conclusion, une installation du photographe Olivier Roller. (note de l'éditeur) Oser la photographie : 50 ans d'une collection d'avant-garde à Arles : [exposition, Arles, Musée Réattu, 4 juillet 2015-6 janvier 2016] [texte imprimé] / Musée Réattu (Arles), Auteur ; Pascale PICARD, Directeur de publication, rédacteur en chef . - Milan : Silvana Editoriale, 2015 . - 1 vol. (383 p.) : ill. en noir et en coul. ; 28 cm. ISBN : 978-88-366-3126-1 : 39 EUR Index p. 362-377, bibliogr. p. 378-382 Langues : Français (fre) Catégories : COLLECTION MUSEE REATTU PHOTOGRAPHIE Index. décimale : 770.74 PHOTOGRAPHIE. Catalogues d'exposition Résumé : 1965, naissance de la première collection publique de photographies dans un musée des beaux-arts français. C’était à Arles au musée Réattu. Jean-Maurice Rouquette, conservateur, et Lucien Clergue, photographe, osent un projet d’avant-garde dont découlera le festival des Rencontres d’Arles, l’École Nationale Supérieure de la Photographie (ENSP) mais aussi la reconnaissance absolue de la photographie en France. L’exposition de l’été 2015 célèbre le chemin parcouru et propose un retour aux sources de l’histoire singulière de cette collection unique composée, dès la première année, de 330 tirages choisis par des photographes et des collectionneurs motivés par l’enjeu d’un projet muséal. Ce parti pris revendiquait la place d’un art photographique qui, comme une évidence, venait s’écrire au musée Réattu dans la continuité de la grande peinture d’histoire, celle de Jacques Réattu. Le 28 mai 1965, le musée Réattu préside à la naissance d’un 8e art en devenir et offre ses cimaises à la jeune collection. Arles découvre alors Ansel Adams, Richard Avedon, Cecil Beaton, Peter Beard, Robert Doisneau, Lucien Hervé, Izis, Germaine Krull, Dora Maar, Man Ray, Paul Strand, Edward Weston… Les décennies suivantes verront entrer Brassaï, Édouard Boubat, Henri Cartier-Bresson, Imogen Cunningham, Mimmo Jodice, André Kertész, William Klein, Sarah Moon, Bernard Plossu, Willy Ronis, Jeanloup Sieff… Depuis, 5 000 tirages éclairent l’histoire d’une pratique photographique sans cesse enrichie de nouvelles acquisitions, qu’il s’agisse de commandes publiques, de dépôts ou de dons. Le développement grandissant de ce département dévore l’identité du musée et appelle au bilan au travers d’une sélection de 210 photographies qui exprime l’état d’un art mutant au gré d’un parcours animé par un questionnement fondamental : qu’est-ce que la photographie apporte à l’art ? De la photographie narrative à la frivolité de la couleur, la radicalité de l’image s’impose et permet d’évoquer le devenir et le développement de cette collection avec, en conclusion, une installation du photographe Olivier Roller. (note de l'éditeur)

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L000012835	770.74 MUS	Catalogue	Limoges - Bibliothèque/Documentation	0 MEDIUMS	Disponible