Titre : |
Les violons ont toujours raison : chroniques cinéma / télé 1998-1999 |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Louis SKORECKI, Auteur |
Editeur : |
Paris : Presses Universitaires de France |
Année de publication : |
2000 |
Collection : |
Perspectives critiques, ISSN 0338-5930 |
Importance : |
1 vol. (333 p.) |
Format : |
22 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-13-051084-0 |
Prix : |
23,50 EUR |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
CINEMA CRITIQUE
|
Index. décimale : |
791.43 CINEMA |
Résumé : |
Ecrire sur le cinéma c'est réécrire le monde. Imaginer des mondes parallèles, des pays pirates, des rêves crus. C'était encore possible au début des années soixante quand la télévision n'avait pas achevé de faire du cinéma une industrie de recyclage, pour le meilleur et pour le pire. Depuis c'est évidemment pire. Culturellement isolés par une exception absurde censée nous protéger du froid, nous ne sommes même plus capables de parler de films du seul endroit d'où ces films sont envisagés et produits : l'industrie mondiale des jeux vidéo. Les textes de ce recueil viennent du froid, ils ont été écrits au jour le jour, contre l'amnésie progressive des "spécialistes" du cinéma. Il suffit de fermer les yeux et de se souvenir. Un jour il y a eu des films, un jour ils ont fait rêver des filles et des garçons... |
Les violons ont toujours raison : chroniques cinéma / télé 1998-1999 [texte imprimé] / Louis SKORECKI, Auteur . - Paris : Presses Universitaires de France, 2000 . - 1 vol. (333 p.) ; 22 cm. - ( Perspectives critiques, ISSN 0338-5930) . ISBN : 978-2-13-051084-0 : 23,50 EUR Langues : Français ( fre)
Catégories : |
CINEMA CRITIQUE
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Index. décimale : |
791.43 CINEMA |
Résumé : |
Ecrire sur le cinéma c'est réécrire le monde. Imaginer des mondes parallèles, des pays pirates, des rêves crus. C'était encore possible au début des années soixante quand la télévision n'avait pas achevé de faire du cinéma une industrie de recyclage, pour le meilleur et pour le pire. Depuis c'est évidemment pire. Culturellement isolés par une exception absurde censée nous protéger du froid, nous ne sommes même plus capables de parler de films du seul endroit d'où ces films sont envisagés et produits : l'industrie mondiale des jeux vidéo. Les textes de ce recueil viennent du froid, ils ont été écrits au jour le jour, contre l'amnésie progressive des "spécialistes" du cinéma. Il suffit de fermer les yeux et de se souvenir. Un jour il y a eu des films, un jour ils ont fait rêver des filles et des garçons... |
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