Bleus en poudre / François DELAMARE / Paris : Presses des Mines (2007)

Public ISBD Titre : Bleus en poudre : e l'art à l'industrie, 5000 ans d'innovations Type de document : texte imprimé Auteurs : François DELAMARE, Auteur Editeur : Paris : Presses des Mines Année de publication : 2007 Collection : Sciences de la matière Importance : 1 vol. (423 p.) Présentation : ill. en coul. et en noir et blanc Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-911762-82-6 Prix : 49 EUR Note générale : Bibliographie, index Langues : Français (fre) Catégories : ART COULEUR COULEUR BLEU INDUSTRIE PIGMENT SCIENCE Index. décimale : 535.6 COULEUR Résumé : Qui aurait imaginé que la recette secrète tant cherchée du bleu égyptien se trouvait parmi les 20 000 tablettes de la bibliothèque d'Assourbanipal? Quel pigment bleu Giotto employait-il pour ses peintures murales, et d'où venait-il? N'est-il pas étrange que l'Espagne n'ait pas su tirer profit des fabrications de bleus mayas qui se faisaient sur une grande échelle en Nouvelle-Espagne? Saviez-vous que les bleus décorant la porcelaine chinoise au XVIIIe siècle provenaient de Saxe et que c'étaient les Hollandais qui en faisaient commerce? Y aurait-il un musée national des Arts asiatiques à Paris si Jean-Baptiste Guimet n'avait pas mis au point la synthèse de l'outremer et ne lui avait pas assuré de larges débouchés? Dans la nombreuse famille des pigments, les bleus sont tout à fait particuliers. Tout d'abord ils sont presque tous artificiels. Du bleu égyptien au bleu de phtalocyanine de cuivre, en passant par les bleus maya et Han, le smalt, les cendres bleues, le bleu de Prusse et l'outremer, l'on ne peut être qu'admiratif devant la variété des solutions techniques trouvées. A chaque civilisation sa solution ou sa séquence de solutions. Mais surtout, dès le XVIe siècle, ils sont fabriqués à l'échelle industrielle car ils servent à l'azurage des papiers et des textiles. Il en résulte qu'ils donnent lieu à des commerces très lucratifs, et la concurrence est rude entre pigments et nations. Issus d'archives peu connues ou inédites ainsi que des derniers résultats de la recherche chaque chapitre de ce livre fait découvrir l'aventure de ces produits peu communs, les Bleus en poudres. (note de l'éditeur) Bleus en poudre : e l'art à l'industrie, 5000 ans d'innovations [texte imprimé] / François DELAMARE, Auteur . - [S.l.] : Mines ParisTech, 2007 . - 1 vol. (423 p.) : ill. en coul. et en noir et blanc ; 24 cm. - (Sciences de la matière) . ISBN : 978-2-911762-82-6 : 49 EUR Bibliographie, index Langues : Français (fre) Catégories : ART COULEUR COULEUR BLEU INDUSTRIE PIGMENT SCIENCE Index. décimale : 535.6 COULEUR Résumé : Qui aurait imaginé que la recette secrète tant cherchée du bleu égyptien se trouvait parmi les 20 000 tablettes de la bibliothèque d'Assourbanipal? Quel pigment bleu Giotto employait-il pour ses peintures murales, et d'où venait-il? N'est-il pas étrange que l'Espagne n'ait pas su tirer profit des fabrications de bleus mayas qui se faisaient sur une grande échelle en Nouvelle-Espagne? Saviez-vous que les bleus décorant la porcelaine chinoise au XVIIIe siècle provenaient de Saxe et que c'étaient les Hollandais qui en faisaient commerce? Y aurait-il un musée national des Arts asiatiques à Paris si Jean-Baptiste Guimet n'avait pas mis au point la synthèse de l'outremer et ne lui avait pas assuré de larges débouchés? Dans la nombreuse famille des pigments, les bleus sont tout à fait particuliers. Tout d'abord ils sont presque tous artificiels. Du bleu égyptien au bleu de phtalocyanine de cuivre, en passant par les bleus maya et Han, le smalt, les cendres bleues, le bleu de Prusse et l'outremer, l'on ne peut être qu'admiratif devant la variété des solutions techniques trouvées. A chaque civilisation sa solution ou sa séquence de solutions. Mais surtout, dès le XVIe siècle, ils sont fabriqués à l'échelle industrielle car ils servent à l'azurage des papiers et des textiles. Il en résulte qu'ils donnent lieu à des commerces très lucratifs, et la concurrence est rude entre pigments et nations. Issus d'archives peu connues ou inédites ainsi que des derniers résultats de la recherche chaque chapitre de ce livre fait découvrir l'aventure de ces produits peu communs, les Bleus en poudres. (note de l'éditeur)

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Une histoire des bleus de cobalt / François DELAMARE / Paris : Presses des Mines (2019)

Public ISBD Titre : Une histoire des bleus de cobalt : saffre, smalt, azur, bleus Thenard et Leithner, turquoise de cobalt Type de document : texte imprimé Auteurs : François DELAMARE, Auteur Editeur : Paris : Presses des Mines Année de publication : 2019 Collection : Sciences de la matière, ISSN 1272-2561 Importance : 1 vol. (199 p.) Présentation : Ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35671-579-1 Prix : 49 EUR Langues : Français (fre) Catégories : BLEU COBALT INDUSTRIE METAL MINERAIS Index. décimale : 535.6 COULEUR Résumé : C'est l'histoire de minerais mal aimés car toxiques, qui perturbent l'extraction de l'argent et finalement se révèlent exploitables, et même plus en plus marchands. Car, selon Agricola, on en fait une sorte de bleu qui n'est pas à dédaigner. Et s'il y a un endroit où on ne le dédaigne pas, c'est bien la Saxe qui, avec une bonne partie des monts métallifères, a d'excellentes mines capables de fournir non seulement de l'argent, mais aussi ce trublion de cobalt, pour le plus grand bien des finances de l'Electeur. C'est l'histoire de l'heureux mariage du cobalt et du verre. Il en résulte des objets célèbres, honneur des musées qui les abritent, ainsi que de remarquables verrières ornant cathédrales et églises. La Saxe exporte dans toute l'Europe. C'est l'histoire de la décoration des surfaces de céramiques en camaïeu bleu, assiettes et pichets, carreaux et azulejos. Ce saffre gris, qui se mue en bleu, est issu du travail des mineurs Saxons, complété par les soins des Hollandais. Ces mêmes Hollandais, habilement, le distribuent partout, jusqu'en Chine. C'est enfin l'histoire du smalt, cette poudre bleue qui blanchit, et va trouver le marché européen le plus vaste que l'on puisse imaginer : l'azurage des tissus, des papiers, des perruques, des argiles et des sucres. Bref, c'est l'histoire d'une sorte de bleu qui n'est pas à dédaigner. (note de l'éditeur) Une histoire des bleus de cobalt : saffre, smalt, azur, bleus Thenard et Leithner, turquoise de cobalt [texte imprimé] / François DELAMARE, Auteur . - Paris : Presses des Mines, 2019 . - 1 vol. (199 p.) : Ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 24 cm. - (Sciences de la matière, ISSN 1272-2561) . ISBN : 978-2-35671-579-1 : 49 EUR Langues : Français (fre) Catégories : BLEU COBALT INDUSTRIE METAL MINERAIS Index. décimale : 535.6 COULEUR Résumé : C'est l'histoire de minerais mal aimés car toxiques, qui perturbent l'extraction de l'argent et finalement se révèlent exploitables, et même plus en plus marchands. Car, selon Agricola, on en fait une sorte de bleu qui n'est pas à dédaigner. Et s'il y a un endroit où on ne le dédaigne pas, c'est bien la Saxe qui, avec une bonne partie des monts métallifères, a d'excellentes mines capables de fournir non seulement de l'argent, mais aussi ce trublion de cobalt, pour le plus grand bien des finances de l'Electeur. C'est l'histoire de l'heureux mariage du cobalt et du verre. Il en résulte des objets célèbres, honneur des musées qui les abritent, ainsi que de remarquables verrières ornant cathédrales et églises. La Saxe exporte dans toute l'Europe. C'est l'histoire de la décoration des surfaces de céramiques en camaïeu bleu, assiettes et pichets, carreaux et azulejos. Ce saffre gris, qui se mue en bleu, est issu du travail des mineurs Saxons, complété par les soins des Hollandais. Ces mêmes Hollandais, habilement, le distribuent partout, jusqu'en Chine. C'est enfin l'histoire du smalt, cette poudre bleue qui blanchit, et va trouver le marché européen le plus vaste que l'on puisse imaginer : l'azurage des tissus, des papiers, des perruques, des argiles et des sucres. Bref, c'est l'histoire d'une sorte de bleu qui n'est pas à dédaigner. (note de l'éditeur)

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Outremers / François DELAMARE / Paris : Presses des Mines (2017)

Public ISBD Titre : Outremers : dans les coulisses de l'azurage Type de document : texte imprimé Auteurs : François DELAMARE, Auteur Editeur : Paris : Presses des Mines Année de publication : 2017 Collection : Sciences de la matière, ISSN 1272-2561 Importance : 1 vol. (341 p.) Présentation : ill. en coul, graph., couv. ill. en coul. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35671-478-7 Prix : 49 EUR Note générale : Bibliographie, index Langues : Français (fre) Catégories : BLEU COLORANT HISTOIRE INDUSTRIE LAPIS-LAZULI MINERAL PIGMENT Mots-clés : 'azur'outremer' Index. décimale : 535.6 COULEUR Résumé : Cette histoire commence dans une région reculée de la planète, en Afghanistan, où toute activité humaine relève de l'exploit. On y trouve des fragments de roche d'un bleu éclatant, issus d'une anomalie géologique. Depuis le VIIe millénaire, cette roche bleue (le lapis-lazuli) chargée de vertus, est convoyée vers les riches plaines de Mésopotamie. Rois et puissants de ces mondes se la disputent. Et puis vient le jour où l'on arrive à en extraire une poudre d'un bleu extraordinaire. Un bleu des Mille et Une Nuits. Eclatant, inaltérable. L'azur véritable. Voyageant avec les caravanes, le voilà en Occident, où il est l'outremer, le pigment bleu par excellence. Mais à quel prix ! De fait, c'est une denrée fort rare, qui se vend au moins son poids d'or. Diverses artifices sont utilisés par les peintres pour tourner cette difficulté jusqu'à ce jour de 1826 où, Jean-Baptiste Guimet, les progrès de la chimie aidant, réussit la synthèse de l'outremer. En quelques années, il le produit à des coûts de plus en plus faibles qui lui permettent de remplacer les bleus jusque-là utilisés pour azurer les papiers, les textiles et le linge. S'ouvre alors pour cet outremer le marché gigantesque de l'azurage, marché qui suscite bien des convoitises. Surtout en Allemagne, où de redoutables concurrents développent bientôt une puissante industrie de synthèse des outremers. A l'orée du XXe siècle, les trois-quarts du linge européen doivent leur blancheur à l‘outremer allemand. Le dernier quart, à l'outremer français. 2017. Ces marchés ont disparu, remplacés par d'autres. L'industrie de l'outremer perdure, en particulier en France, et se porte plutôt bien... (note de l'éditeur) Outremers : dans les coulisses de l'azurage [texte imprimé] / François DELAMARE, Auteur . - Paris : Presses des Mines, 2017 . - 1 vol. (341 p.) : ill. en coul, graph., couv. ill. en coul. ; 24 cm. - (Sciences de la matière, ISSN 1272-2561) . ISBN : 978-2-35671-478-7 : 49 EUR Bibliographie, index Langues : Français (fre) Catégories : BLEU COLORANT HISTOIRE INDUSTRIE LAPIS-LAZULI MINERAL PIGMENT Mots-clés : 'azur'outremer' Index. décimale : 535.6 COULEUR Résumé : Cette histoire commence dans une région reculée de la planète, en Afghanistan, où toute activité humaine relève de l'exploit. On y trouve des fragments de roche d'un bleu éclatant, issus d'une anomalie géologique. Depuis le VIIe millénaire, cette roche bleue (le lapis-lazuli) chargée de vertus, est convoyée vers les riches plaines de Mésopotamie. Rois et puissants de ces mondes se la disputent. Et puis vient le jour où l'on arrive à en extraire une poudre d'un bleu extraordinaire. Un bleu des Mille et Une Nuits. Eclatant, inaltérable. L'azur véritable. Voyageant avec les caravanes, le voilà en Occident, où il est l'outremer, le pigment bleu par excellence. Mais à quel prix ! De fait, c'est une denrée fort rare, qui se vend au moins son poids d'or. Diverses artifices sont utilisés par les peintres pour tourner cette difficulté jusqu'à ce jour de 1826 où, Jean-Baptiste Guimet, les progrès de la chimie aidant, réussit la synthèse de l'outremer. En quelques années, il le produit à des coûts de plus en plus faibles qui lui permettent de remplacer les bleus jusque-là utilisés pour azurer les papiers, les textiles et le linge. S'ouvre alors pour cet outremer le marché gigantesque de l'azurage, marché qui suscite bien des convoitises. Surtout en Allemagne, où de redoutables concurrents développent bientôt une puissante industrie de synthèse des outremers. A l'orée du XXe siècle, les trois-quarts du linge européen doivent leur blancheur à l‘outremer allemand. Le dernier quart, à l'outremer français. 2017. Ces marchés ont disparu, remplacés par d'autres. L'industrie de l'outremer perdure, en particulier en France, et se porte plutôt bien... (note de l'éditeur)

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