Semaine (2010 - ...) . Vol. 01Paru le : 01/01/2010 |
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L000010789 | R | Revue | Limoges - Bibliothèque | PERIODIQUES | Disponible |
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Ajouter le résultat dans votre panierPatrick Faigenbaum Claire Tenu deux artistes photographes en résidence à Sérignan in Semaine (2010 - ...), Vol. 01 (Janvier 2010)
[article]
Titre : Patrick Faigenbaum Claire Tenu deux artistes photographes en résidence à Sérignan Type de document : texte imprimé Année de publication : 2010 Article en page(s) : semaine 50.09 n°224 Langues : Français (fre) Catégories : FAIGENBAUM Patrick
TENU Claire
in Semaine (2010 - ...) > Vol. 01 (Janvier 2010) . - semaine 50.09 n°224[article] Patrick Faigenbaum Claire Tenu deux artistes photographes en résidence à Sérignan [texte imprimé] . - 2010 . - semaine 50.09 n°224.
Langues : Français (fre)
in Semaine (2010 - ...) > Vol. 01 (Janvier 2010) . - semaine 50.09 n°224
Catégories : FAIGENBAUM Patrick
TENU ClaireRéservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité L000010789 R Revue Limoges - Bibliothèque PERIODIQUES Disponible Jérémy Liron le réel est un cadre qui déborde sans cesse / Arnaud MAÏSSETTI in Semaine (2010 - ...), Vol. 01 (Janvier 2010)
[article]
Titre : Jérémy Liron le réel est un cadre qui déborde sans cesse Type de document : texte imprimé Auteurs : Arnaud MAÏSSETTI, Auteur Année de publication : 2010 Article en page(s) : semaine 49.09 n°223 Langues : Français (fre) Catégories : LIRON Jérémy Résumé : Lyon-Béthune, Lab-Labanque, Béthune
Qu’est-ce qui précède la toile : le regard de l’artiste, ou le mouvement du monde vers lui ? À l’invitation du Lab-Labanque de Béthune, Jérémy Liron expose la suite de son projet Landscape(s) au premier étage des appartements de l’ancienne Banque de France. Au lieu de poursuivre la série entamée, le peintre a répondu à l’appel du Centre d’Art en déplaçant la question de ces toiles vers ce qui les produit et les happe. Jérémy Liron vit et travaille à Lyon ; pour rejoindre Béthune où installer les tableaux, c’est près de 700 km de train. Alors, du défilement du réel au-dehors et de ce mouvement vers le lieu de l’exposition, le peintre s’est emparé pour en faire précisément le matériau du projet. Photographies et notes de la traversée nourrissent le travail et c’est naturellement qu’on les retrouve dans l’exposition (avec des extraits de journal et du blog du plasticien), moins pour l’illustrer que pour retourner la question : si le monde avait précédé les tableaux, son écriture leur fait face en retour et dialogue avec eux. Généalogies multiples du tableau : origine et fin du regard qui travaille le réel depuis la question qu’on lui adresse en chemin, et dont l’adresse devient le geste même du peintre, qui écrit : « Qu’est-ce qu’on emporte de soi à regarder la route ? Et qu’est-ce qu’on y laisse ? Le réel est un cadre qui se déborde sans cesse. » Le catalogue qui accompagne l’exposition, rédigé par Armand Dupuy, dresse avec précision les territoires de ce travail où le paysage habite dans une façade qu’inlassablement le peintre interroge. La route qu’emprunte l’artiste pour aller vers la toile est celle qui traverse le monde — cette expérience littérale fonde la démarche, et questionne profondément le sens de ce geste : dévisager le réel. Arnaud Maïsetti
in Semaine (2010 - ...) > Vol. 01 (Janvier 2010) . - semaine 49.09 n°223[article] Jérémy Liron le réel est un cadre qui déborde sans cesse [texte imprimé] / Arnaud MAÏSSETTI, Auteur . - 2010 . - semaine 49.09 n°223.
Langues : Français (fre)
in Semaine (2010 - ...) > Vol. 01 (Janvier 2010) . - semaine 49.09 n°223
Catégories : LIRON Jérémy Résumé : Lyon-Béthune, Lab-Labanque, Béthune
Qu’est-ce qui précède la toile : le regard de l’artiste, ou le mouvement du monde vers lui ? À l’invitation du Lab-Labanque de Béthune, Jérémy Liron expose la suite de son projet Landscape(s) au premier étage des appartements de l’ancienne Banque de France. Au lieu de poursuivre la série entamée, le peintre a répondu à l’appel du Centre d’Art en déplaçant la question de ces toiles vers ce qui les produit et les happe. Jérémy Liron vit et travaille à Lyon ; pour rejoindre Béthune où installer les tableaux, c’est près de 700 km de train. Alors, du défilement du réel au-dehors et de ce mouvement vers le lieu de l’exposition, le peintre s’est emparé pour en faire précisément le matériau du projet. Photographies et notes de la traversée nourrissent le travail et c’est naturellement qu’on les retrouve dans l’exposition (avec des extraits de journal et du blog du plasticien), moins pour l’illustrer que pour retourner la question : si le monde avait précédé les tableaux, son écriture leur fait face en retour et dialogue avec eux. Généalogies multiples du tableau : origine et fin du regard qui travaille le réel depuis la question qu’on lui adresse en chemin, et dont l’adresse devient le geste même du peintre, qui écrit : « Qu’est-ce qu’on emporte de soi à regarder la route ? Et qu’est-ce qu’on y laisse ? Le réel est un cadre qui se déborde sans cesse. » Le catalogue qui accompagne l’exposition, rédigé par Armand Dupuy, dresse avec précision les territoires de ce travail où le paysage habite dans une façade qu’inlassablement le peintre interroge. La route qu’emprunte l’artiste pour aller vers la toile est celle qui traverse le monde — cette expérience littérale fonde la démarche, et questionne profondément le sens de ce geste : dévisager le réel. Arnaud Maïsetti
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité L000010789 R Revue Limoges - Bibliothèque PERIODIQUES Disponible France Dubois Image/Imatge, Orthez / Didier ARNAUDET in Semaine (2010 - ...), Vol. 01 (Janvier 2010)
[article]
Titre : France Dubois Image/Imatge, Orthez Type de document : texte imprimé Auteurs : Didier ARNAUDET, Auteur Année de publication : 2010 Article en page(s) : semaine 46.09 n°221 Langues : Français (fre) Catégories : DUBOIS France Résumé : Ce que nous impose France Dubois, c’est d’abord une attente. L’imagese donne à voir comme évidée, réduite à une étrange interrogation, à la sensation nue d’un équilibre au bord du vertige. Loin de chercher à s’établir, elle résiste à une clôture définitive, instaure une sorte de distance. Elle intrigue, organise un désordre et s’oppose à toute fixité. Elle se concentre sur une présence perdue, qui n’est jamais véritablement perdue, mais qui rôde, insiste, s’incruste comme pour nous obliger à
penser son abandon. Quelque chose nous échappe et ce quelque chose résonne comme un fil tendu que nous n’arrivons pas à saisir. Quelque chose dont le statut ne semble pas bien assuré et qui pourrait être amené à changer, à bifurquer, à s’interrompre et à se délester vers une voie inattendue. Mais de quoi est-il question dans cette exploration de ce qui apparaît comme un monde tertiaire où les formes d’existence n’ont pas de corps mais se signifient dans des échos, des souvenirs et des indices ? Pourquoi la porte ouverte d’un bureau, l’ondulation d’un fil électrique, des blouses dans un vestiaire, la plaque fissurée d’un plafond, les géographies inédites d’un sol ou d’un mur, des ombres derrière une cloison perforée ne se présentent pas directement, simplement sous l’aspect de déterminations solides et permanentes ? France Dubois ne cherche pas à rassurer, à expliciter, mais à rendre les repères à la fois transparents et opaques, nécessaires et imparfaits. Dans ses photographies, elle détourne le cours habituel des apparences et nous confronte à la découverte troublante d’une autre réalité, gagnant en densité énigmatique ce qu’elle perd en ancrage référentiel, et donc infiniment plus riche de ressources singulières. Didier Arnaudet
in Semaine (2010 - ...) > Vol. 01 (Janvier 2010) . - semaine 46.09 n°221[article] France Dubois Image/Imatge, Orthez [texte imprimé] / Didier ARNAUDET, Auteur . - 2010 . - semaine 46.09 n°221.
Langues : Français (fre)
in Semaine (2010 - ...) > Vol. 01 (Janvier 2010) . - semaine 46.09 n°221
Catégories : DUBOIS France Résumé : Ce que nous impose France Dubois, c’est d’abord une attente. L’imagese donne à voir comme évidée, réduite à une étrange interrogation, à la sensation nue d’un équilibre au bord du vertige. Loin de chercher à s’établir, elle résiste à une clôture définitive, instaure une sorte de distance. Elle intrigue, organise un désordre et s’oppose à toute fixité. Elle se concentre sur une présence perdue, qui n’est jamais véritablement perdue, mais qui rôde, insiste, s’incruste comme pour nous obliger à
penser son abandon. Quelque chose nous échappe et ce quelque chose résonne comme un fil tendu que nous n’arrivons pas à saisir. Quelque chose dont le statut ne semble pas bien assuré et qui pourrait être amené à changer, à bifurquer, à s’interrompre et à se délester vers une voie inattendue. Mais de quoi est-il question dans cette exploration de ce qui apparaît comme un monde tertiaire où les formes d’existence n’ont pas de corps mais se signifient dans des échos, des souvenirs et des indices ? Pourquoi la porte ouverte d’un bureau, l’ondulation d’un fil électrique, des blouses dans un vestiaire, la plaque fissurée d’un plafond, les géographies inédites d’un sol ou d’un mur, des ombres derrière une cloison perforée ne se présentent pas directement, simplement sous l’aspect de déterminations solides et permanentes ? France Dubois ne cherche pas à rassurer, à expliciter, mais à rendre les repères à la fois transparents et opaques, nécessaires et imparfaits. Dans ses photographies, elle détourne le cours habituel des apparences et nous confronte à la découverte troublante d’une autre réalité, gagnant en densité énigmatique ce qu’elle perd en ancrage référentiel, et donc infiniment plus riche de ressources singulières. Didier ArnaudetRéservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité L000010789 R Revue Limoges - Bibliothèque PERIODIQUES Disponible Trois expositions hors les murs / ALIS Jean-Pierre in Semaine (2010 - ...), Vol. 01 (Janvier 2010)
[article]
Titre : Trois expositions hors les murs Type de document : texte imprimé Auteurs : ALIS Jean-Pierre, Auteur Année de publication : 2010 Article en page(s) : semaine 44.09 n°218 Langues : Français (fre) Catégories : DOMAGALA Alain
ROBERT Pascale
VIALLAT ClaudeRésumé : galerie Athanor, Marseille
La galerie Athanor n’a plus de lieu depuis juillet 2009, mais ses projets continuent. Ce qu’il reste c’est un fort réseau d’amitiés et le désir de continuer une programmation, la disponibilité à des propositions et à des collaborations. Cette importante carte blanche proposée par Ouest-Provence pour trois expositions à Miramas et à Istres concrétise cette activité hors les murs. Elle se poursuivra dès le 5 novembre galerie Plysémie, 63 cours Pierre Pujet à Marseille, par une exposition d’œuvres récentes de Jean-Jacques Ceccarelli durant laquelle sera présentée une importante monographie de l’artiste éditée par André Dimanche. En 2010, la galerie du tableau recevra Athanor pour plusieurs cartes blanches. La galerie Athanor a occupé 5 lieux et réalisé 300 expositions à thèmes personnelles ou de groupes. Hors les murs elle a assumé le commissariat de plusieurs expositions [ VLAUDE VIALLAT, PASCALE ROBERT, ALAIN DOMAGALA ]dans les musées de la ville de Marseille, au Frac, dans divers centres culturels en région. En 1998, une importante exposition a été réalisée au musée d’art moderne de la ville de Céret à l’occasion de la donation et du dépôt d’œuvres de la collection du directeur de la galerie Athanor Jean-Pierre Alis.
in Semaine (2010 - ...) > Vol. 01 (Janvier 2010) . - semaine 44.09 n°218[article] Trois expositions hors les murs [texte imprimé] / ALIS Jean-Pierre, Auteur . - 2010 . - semaine 44.09 n°218.
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in Semaine (2010 - ...) > Vol. 01 (Janvier 2010) . - semaine 44.09 n°218
Catégories : DOMAGALA Alain
ROBERT Pascale
VIALLAT ClaudeRésumé : galerie Athanor, Marseille
La galerie Athanor n’a plus de lieu depuis juillet 2009, mais ses projets continuent. Ce qu’il reste c’est un fort réseau d’amitiés et le désir de continuer une programmation, la disponibilité à des propositions et à des collaborations. Cette importante carte blanche proposée par Ouest-Provence pour trois expositions à Miramas et à Istres concrétise cette activité hors les murs. Elle se poursuivra dès le 5 novembre galerie Plysémie, 63 cours Pierre Pujet à Marseille, par une exposition d’œuvres récentes de Jean-Jacques Ceccarelli durant laquelle sera présentée une importante monographie de l’artiste éditée par André Dimanche. En 2010, la galerie du tableau recevra Athanor pour plusieurs cartes blanches. La galerie Athanor a occupé 5 lieux et réalisé 300 expositions à thèmes personnelles ou de groupes. Hors les murs elle a assumé le commissariat de plusieurs expositions [ VLAUDE VIALLAT, PASCALE ROBERT, ALAIN DOMAGALA ]dans les musées de la ville de Marseille, au Frac, dans divers centres culturels en région. En 1998, une importante exposition a été réalisée au musée d’art moderne de la ville de Céret à l’occasion de la donation et du dépôt d’œuvres de la collection du directeur de la galerie Athanor Jean-Pierre Alis.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité L000010789 R Revue Limoges - Bibliothèque PERIODIQUES Disponible Bruno Peinado Bernard Marcade [La Pile] / Michèle COHEN in Semaine (2010 - ...), Vol. 01 (Janvier 2010)
[article]
Titre : Bruno Peinado Bernard Marcade [La Pile] Type de document : texte imprimé Auteurs : Michèle COHEN, Auteur Année de publication : 2010 Article en page(s) : semaine 42.09 n°216 Langues : Français (fre) Catégories : PEINADO Bruno Résumé : galerie La Non-Maison,
Aix-en-Provence
[aviat.] Pile d'attente : ensemble des aéronefs évoluant à diverses altitudes sur des orbites d'attente dans un espace spécifié par le contrôle de la circulation aérienne. Lorsque j’ai rencontré le "sans titre, brumes ral 1021" de Bruno Peinado, j’ai eu aussitôt envie d’aller au devant de cette œuvre et de cet artiste, sans savoir comment la galerie LA NON-MAISON pourrait trouver une place à ses côtés, ni quelle forme pourrait prendre notre collaboration. Lorsqu’il m’a proposé de réaliser « Serendip », j’ai eu la sensation de recevoir un poème. Sa réalisation était conséquente, et après deux empêchements consécutifs, je n’ai pas voulu passer à autre chose. J’ai eu envie d’une pause, ce qui représentait une prise de risque pour la galerie. Face au rythme effréné et aux contraintes de la production, j’ai ressenti la nécessité de « piler » et d’observer ce qui se dépose. Il me fallait sortir du piège de l’exposition et laisser l’espace vacant. J’avais le désir de me rapprocher de la genèse de l’acte de création et j’ai demandé à Bernard Marcadé que je revoyais après vingt ans, d’écrire sur cet arrêt sur image. Nos désirs reviennent tant qu’ils ne trouvent pas de résolution, comme les fantômes du Nô qui reviennent hanter les vivants tant qu’ils ne trouvent pas le repos.
Michèle Cohen
in Semaine (2010 - ...) > Vol. 01 (Janvier 2010) . - semaine 42.09 n°216[article] Bruno Peinado Bernard Marcade [La Pile] [texte imprimé] / Michèle COHEN, Auteur . - 2010 . - semaine 42.09 n°216.
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in Semaine (2010 - ...) > Vol. 01 (Janvier 2010) . - semaine 42.09 n°216
Catégories : PEINADO Bruno Résumé : galerie La Non-Maison,
Aix-en-Provence
[aviat.] Pile d'attente : ensemble des aéronefs évoluant à diverses altitudes sur des orbites d'attente dans un espace spécifié par le contrôle de la circulation aérienne. Lorsque j’ai rencontré le "sans titre, brumes ral 1021" de Bruno Peinado, j’ai eu aussitôt envie d’aller au devant de cette œuvre et de cet artiste, sans savoir comment la galerie LA NON-MAISON pourrait trouver une place à ses côtés, ni quelle forme pourrait prendre notre collaboration. Lorsqu’il m’a proposé de réaliser « Serendip », j’ai eu la sensation de recevoir un poème. Sa réalisation était conséquente, et après deux empêchements consécutifs, je n’ai pas voulu passer à autre chose. J’ai eu envie d’une pause, ce qui représentait une prise de risque pour la galerie. Face au rythme effréné et aux contraintes de la production, j’ai ressenti la nécessité de « piler » et d’observer ce qui se dépose. Il me fallait sortir du piège de l’exposition et laisser l’espace vacant. J’avais le désir de me rapprocher de la genèse de l’acte de création et j’ai demandé à Bernard Marcadé que je revoyais après vingt ans, d’écrire sur cet arrêt sur image. Nos désirs reviennent tant qu’ils ne trouvent pas de résolution, comme les fantômes du Nô qui reviennent hanter les vivants tant qu’ils ne trouvent pas le repos.
Michèle CohenRéservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité L000010789 R Revue Limoges - Bibliothèque PERIODIQUES Disponible Dominique Angel Pièces supplémentaires / Pascal NEVEUX in Semaine (2010 - ...), Vol. 01 (Janvier 2010)
[article]
Titre : Dominique Angel Pièces supplémentaires Type de document : texte imprimé Auteurs : Pascal NEVEUX, Auteur Année de publication : 2010 Article en page(s) : semaine 42.09 n°215 Langues : Français (fre) Catégories : ANGEL Dominique Résumé : Cette publication vient documenter la genèse de l’exposition Pièces supplémentaires qui se déploie sur quatre monuments historiques de Tarascon à Villeneuve-lez-Avignon cet automne. Cette exposition en quatre lieux questionne la nature à la fois conceptuelle et fictionnelle du projet artistique de Dominique Angel. Elle ne privilégie aucun support mais tend à questionner le caractère hybride, protéiforme des oeuvres de cet artiste d’attitudes où réalité et fiction, monumental et éphémère, matériaux nobles et objets du quotidien sont intimement assemblés avec une efficacité visuelle indéniable, une acuité maîtrisée et un profond humanisme non dénué d’ironie. Happenings publics, lectures performances, photographies, vidéos, sculptures monumentales, installations, romans, nouvelles, poèmes, textes sur l’art, toutes ces productions participent de la démarche artistique de Dominique Angel. Si leur nature diffère, si leurs objectifs peuvent ne pas concorder et leurs destins respectifs diverger,
toutes trouvent une cohérence d’ensemble dans le cadre majestueux du Château Royal de Provence, du Cloître des Cordeliers de Tarascon ainsi que la Tour Philippe le Bel et la Chartreuse de Villeneuve-lez-Avignon où Dominique Angel a élu domicile.
in Semaine (2010 - ...) > Vol. 01 (Janvier 2010) . - semaine 42.09 n°215[article] Dominique Angel Pièces supplémentaires [texte imprimé] / Pascal NEVEUX, Auteur . - 2010 . - semaine 42.09 n°215.
Langues : Français (fre)
in Semaine (2010 - ...) > Vol. 01 (Janvier 2010) . - semaine 42.09 n°215
Catégories : ANGEL Dominique Résumé : Cette publication vient documenter la genèse de l’exposition Pièces supplémentaires qui se déploie sur quatre monuments historiques de Tarascon à Villeneuve-lez-Avignon cet automne. Cette exposition en quatre lieux questionne la nature à la fois conceptuelle et fictionnelle du projet artistique de Dominique Angel. Elle ne privilégie aucun support mais tend à questionner le caractère hybride, protéiforme des oeuvres de cet artiste d’attitudes où réalité et fiction, monumental et éphémère, matériaux nobles et objets du quotidien sont intimement assemblés avec une efficacité visuelle indéniable, une acuité maîtrisée et un profond humanisme non dénué d’ironie. Happenings publics, lectures performances, photographies, vidéos, sculptures monumentales, installations, romans, nouvelles, poèmes, textes sur l’art, toutes ces productions participent de la démarche artistique de Dominique Angel. Si leur nature diffère, si leurs objectifs peuvent ne pas concorder et leurs destins respectifs diverger,
toutes trouvent une cohérence d’ensemble dans le cadre majestueux du Château Royal de Provence, du Cloître des Cordeliers de Tarascon ainsi que la Tour Philippe le Bel et la Chartreuse de Villeneuve-lez-Avignon où Dominique Angel a élu domicile.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité L000010789 R Revue Limoges - Bibliothèque PERIODIQUES Disponible Laurent Pernel / Sandrine MARTINET in Semaine (2010 - ...), Vol. 01 (Janvier 2010)
[article]
Titre : Laurent Pernel Type de document : texte imprimé Auteurs : Sandrine MARTINET, Auteur Année de publication : 2010 Article en page(s) : semaine 40.09 n°213 Langues : Français (fre) Catégories : PERNEL Laurent Résumé : Espace Vallès, Saint-Martin d'Hères - La Halle, Pont-En-Royans
Le travail de Laurent Pernel est proposé ici au travers de deux expositions personnelles récentes, dans des lieux proches géographiquement mais très distincts dans leur environnement. L’un en milieu rural, la Halle, et l’autre en milieu urbain, l’Espace Vallès. Cette dichotomie permet de prendre la mesure de la pensée de Laurent Pernel, de sa capacité de préhension et d’appropriation immédiates de la réalité géopolitique dans laquelle il se trouve. Le texte de Corinne Rondeau fait notamment référence à l’exposition L’image des choses et au film Plan your escape réalisés pour la Halle. Dans la proposition pour l’Espace Vallès, les résonances entre des pièces produites au préalable et celles créés spécialement pour le lieu démontrent la force de la cohérence de l’oeuvre polymorphe de l’artiste. Des lustres, créés par l’assemblage de verres à champagne en plastiques obsessionnellement décorés, qui habituellement surplombent les invités, sont ici fixés au sol, tandis qu’un magnifique tapis dentelé, au
plafond, se laisse transpercé par la lumière. L’exposition Glasnost se joue
ainsi des mondanités en transformant les ingrédients d’un intérieur luxueux
en scène fantomatique inversée ; le son du film Face à Face diffusé
dans une autre salle enveloppe le visiteur dès l’entrée et renforce cette
sensation. Les images qui suivent donnent une idée de cet environnement créé par l’artiste.
Sandrine Martinet
in Semaine (2010 - ...) > Vol. 01 (Janvier 2010) . - semaine 40.09 n°213[article] Laurent Pernel [texte imprimé] / Sandrine MARTINET, Auteur . - 2010 . - semaine 40.09 n°213.
Langues : Français (fre)
in Semaine (2010 - ...) > Vol. 01 (Janvier 2010) . - semaine 40.09 n°213
Catégories : PERNEL Laurent Résumé : Espace Vallès, Saint-Martin d'Hères - La Halle, Pont-En-Royans
Le travail de Laurent Pernel est proposé ici au travers de deux expositions personnelles récentes, dans des lieux proches géographiquement mais très distincts dans leur environnement. L’un en milieu rural, la Halle, et l’autre en milieu urbain, l’Espace Vallès. Cette dichotomie permet de prendre la mesure de la pensée de Laurent Pernel, de sa capacité de préhension et d’appropriation immédiates de la réalité géopolitique dans laquelle il se trouve. Le texte de Corinne Rondeau fait notamment référence à l’exposition L’image des choses et au film Plan your escape réalisés pour la Halle. Dans la proposition pour l’Espace Vallès, les résonances entre des pièces produites au préalable et celles créés spécialement pour le lieu démontrent la force de la cohérence de l’oeuvre polymorphe de l’artiste. Des lustres, créés par l’assemblage de verres à champagne en plastiques obsessionnellement décorés, qui habituellement surplombent les invités, sont ici fixés au sol, tandis qu’un magnifique tapis dentelé, au
plafond, se laisse transpercé par la lumière. L’exposition Glasnost se joue
ainsi des mondanités en transformant les ingrédients d’un intérieur luxueux
en scène fantomatique inversée ; le son du film Face à Face diffusé
dans une autre salle enveloppe le visiteur dès l’entrée et renforce cette
sensation. Les images qui suivent donnent une idée de cet environnement créé par l’artiste.
Sandrine MartinetRéservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité L000010789 R Revue Limoges - Bibliothèque PERIODIQUES Disponible Dominique de Beir Le noir est-il un chiffre ? / Elisabeth CHAMBON in Semaine (2010 - ...), Vol. 01 (Janvier 2010)
[article]
Titre : Dominique de Beir Le noir est-il un chiffre ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Elisabeth CHAMBON, Auteur Année de publication : 2010 Article en page(s) : semaine 39.09 n°212 Langues : Français (fre) Catégories : BEIR Dominique de Résumé : Musée Géo-Charles
Il y a ce mot d’Henri Michaux dans Ecuador « je suis né troué » je ne
pense pas qu’il aurait fait le titre de l’exposition de Dominique De Beir
au musée Géo-Charles. Mais cette réflexion sur le vide, l’ouvert se conjugue de façon singulière avec l’activité perforatrice de l’artiste invitée au musée à éprouver le visiteur, à mettre en doute sa perception, provoquant sa présence et sa déambulation. Un acte artistique présenté comme un parcours du «voyant» où se crée une intimité nouvelle entre le visiteur
et l’exposition. Le noir est-il un chiffre ? Une drôle de formule alchimique ou mathématique qui révèle une posture dont la réponse se trouve mystérieusement
dans le parcours de cette exposition, exprimant parfois l’appartenance au domaine céleste comme Boîte de nuit. Une proposition qui n’a rien de l’emphase, du spectaculaire, plus une simplicité qui rassemble les principaux axes de son travail, de son geste, de la performance
physique d’installation qui peut prendre aussi celle d’un peintre face
à des préoccupations plastiques. Dominique De Beir aime pleinement
maîtriser l’élaboration, attachée à son activité incessante à questionner
le matériau plus spécialement le carton, la cagette et l’outil ; au centre de sa démarche artistique, dans leur économie, leur charge poétique, leur
conférant un nouvel usage. Percer des trous non pas dans le but d’une
détérioration, elle rejette toute théâtralité tel un entrepreneur qui constituerait son stock avant un chantier imaginaire. Des orifices qui nous contraignent à réfléchir sur ce geste irréversible, répété pour aller au delà de la surface plate et du plan. Des lacérations, des perforations frontales, des stries et griffures donnant aux oeuvres une étonnante profondeur, affirmant clairement cette sensation d’espace. De là naissent de véritables structures architecturales, lieux de rencontre et de ralliement qui
explorent les possibilités à percevoir dans le noir, l’obscurité.
in Semaine (2010 - ...) > Vol. 01 (Janvier 2010) . - semaine 39.09 n°212[article] Dominique de Beir Le noir est-il un chiffre ? [texte imprimé] / Elisabeth CHAMBON, Auteur . - 2010 . - semaine 39.09 n°212.
Langues : Français (fre)
in Semaine (2010 - ...) > Vol. 01 (Janvier 2010) . - semaine 39.09 n°212
Catégories : BEIR Dominique de Résumé : Musée Géo-Charles
Il y a ce mot d’Henri Michaux dans Ecuador « je suis né troué » je ne
pense pas qu’il aurait fait le titre de l’exposition de Dominique De Beir
au musée Géo-Charles. Mais cette réflexion sur le vide, l’ouvert se conjugue de façon singulière avec l’activité perforatrice de l’artiste invitée au musée à éprouver le visiteur, à mettre en doute sa perception, provoquant sa présence et sa déambulation. Un acte artistique présenté comme un parcours du «voyant» où se crée une intimité nouvelle entre le visiteur
et l’exposition. Le noir est-il un chiffre ? Une drôle de formule alchimique ou mathématique qui révèle une posture dont la réponse se trouve mystérieusement
dans le parcours de cette exposition, exprimant parfois l’appartenance au domaine céleste comme Boîte de nuit. Une proposition qui n’a rien de l’emphase, du spectaculaire, plus une simplicité qui rassemble les principaux axes de son travail, de son geste, de la performance
physique d’installation qui peut prendre aussi celle d’un peintre face
à des préoccupations plastiques. Dominique De Beir aime pleinement
maîtriser l’élaboration, attachée à son activité incessante à questionner
le matériau plus spécialement le carton, la cagette et l’outil ; au centre de sa démarche artistique, dans leur économie, leur charge poétique, leur
conférant un nouvel usage. Percer des trous non pas dans le but d’une
détérioration, elle rejette toute théâtralité tel un entrepreneur qui constituerait son stock avant un chantier imaginaire. Des orifices qui nous contraignent à réfléchir sur ce geste irréversible, répété pour aller au delà de la surface plate et du plan. Des lacérations, des perforations frontales, des stries et griffures donnant aux oeuvres une étonnante profondeur, affirmant clairement cette sensation d’espace. De là naissent de véritables structures architecturales, lieux de rencontre et de ralliement qui
explorent les possibilités à percevoir dans le noir, l’obscurité.Réservation
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