| Titre : |
Coquillages : de la parure aux arts décoratifs |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Ingrid THOMAS, Auteur ; Marc PHELINE, Traducteur |
| Editeur : |
Paris : Citadelles & Mazenod |
| Année de publication : |
2007 |
| Importance : |
1 vol. (256 p.) |
| Présentation : |
ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. |
| Format : |
32 cm |
| ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-85088-237-1 |
| Prix : |
65 EUR |
| Note générale : |
bibliographie, glossaire |
| Langues : |
Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) |
| Catégories : |
BAROQUE
BIJOU
BOUTON
COQUILLAGE
NACRE
ORGANIQUE
PARURE
|
| Index. décimale : |
745.55 COQUILLAGES / PERLES |
| Résumé : |
Taillés, les coquilles et la nacre se sont transformées en boutons ou ont été intégrées à des bijoux et à de délicates marqueteries. Mythologiques, symboliques, zoologiques ou fantastiques, les représentations de coquillages ont également été un thème récurrent des arts visuels depuis l’Antiquité jusqu’à nos jours. Aux XVIIe et XVIIIe siècles, les espèces les plus diverses se mirent à orner de fantastiques pavillons et grottes de jardin, et au XXe siècle, le colimaçon inspira ses plus beaux chefs-d’œuvre à l’architecture organique.
Élément clé du baroque et surtout de la rocaille et du rococo, la coquille a inspiré des siècles de création, de l’argenterie à la céramique et au verre, des textiles au mobilier, voire à la mode.
Objet de collection par excellence, les coquillages faisaient partie des trésors exotiques rapportés des grands voyages de découvertes entre le XIVe et le XVIIIe siècle et ils furent l’objet d’une véritable « conchyliomanie ». En 1796, cela valut à un petit cône d’atteindre six fois la somme payée pour un Vermeer, lors d’une vente aux enchères qui se tint à La Haye. La malacologie et les collections de coquillages rencontrent encore un immense succès aujourd’hui. (note de l'éditeur) |
Coquillages : de la parure aux arts décoratifs [texte imprimé] / Ingrid THOMAS, Auteur ; Marc PHELINE, Traducteur . - Paris : Citadelles & Mazenod, 2007 . - 1 vol. (256 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 32 cm. ISBN : 978-2-85088-237-1 : 65 EUR bibliographie, glossaire Langues : Français ( fre) Langues originales : Anglais ( eng)
| Catégories : |
BAROQUE
BIJOU
BOUTON
COQUILLAGE
NACRE
ORGANIQUE
PARURE
|
| Index. décimale : |
745.55 COQUILLAGES / PERLES |
| Résumé : |
Taillés, les coquilles et la nacre se sont transformées en boutons ou ont été intégrées à des bijoux et à de délicates marqueteries. Mythologiques, symboliques, zoologiques ou fantastiques, les représentations de coquillages ont également été un thème récurrent des arts visuels depuis l’Antiquité jusqu’à nos jours. Aux XVIIe et XVIIIe siècles, les espèces les plus diverses se mirent à orner de fantastiques pavillons et grottes de jardin, et au XXe siècle, le colimaçon inspira ses plus beaux chefs-d’œuvre à l’architecture organique.
Élément clé du baroque et surtout de la rocaille et du rococo, la coquille a inspiré des siècles de création, de l’argenterie à la céramique et au verre, des textiles au mobilier, voire à la mode.
Objet de collection par excellence, les coquillages faisaient partie des trésors exotiques rapportés des grands voyages de découvertes entre le XIVe et le XVIIIe siècle et ils furent l’objet d’une véritable « conchyliomanie ». En 1796, cela valut à un petit cône d’atteindre six fois la somme payée pour un Vermeer, lors d’une vente aux enchères qui se tint à La Haye. La malacologie et les collections de coquillages rencontrent encore un immense succès aujourd’hui. (note de l'éditeur) |
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