| Titre : |
Arles 2023 : les Rencontres de la photographie ; [exposition, Arles, 3 juillet-24 septembre 2023] |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Rencontres internationales de la photographie (54; 2023; Arles), Auteur ; Christoph WIESNER, Directeur de publication |
| Editeur : |
Arles : Actes Sud |
| Année de publication : |
2023 |
| Importance : |
1 vol. (355 p.) |
| Présentation : |
ill. en coul. |
| Format : |
26 cm |
| ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-330-18008-9 |
| Prix : |
48 EUR |
| Langues : |
Français (fre) |
| Catégories : |
CREWDSON Gregory
EXPOSITION
PHOTOGRAPHIE
RENCONTRES D'ARLES 2023
TERRITOIRE
VARDA Agnès
WENDERS Wim
|
| Index. décimale : |
770.74 PHOTOGRAPHIE. Catalogues d'exposition |
| Résumé : |
Le festival en collaboration avec la Cité de l'Anthropocène de Lyon s'est lancé pour cette 54e édition dans l'exploration du territoire arlésien et de son écosystème. Scientifiques, chercheurs, penseurs et artistes sont partis à sa découverte afin d'en faire un état des lieux.
L'exploration du territoire peut prendre de multiples formes, ainsi l'exposition « Soleil Gris » d'Eric Tabuchi et Nelly Monnier présente un corpus territorial issu du travail au long cours de l'Atlas des Régions Naturelles. L'enquête sur la zone industrielle, autrefois fleuron de la modernité de Tarascon, menée par Mathieu Asselin au coeur de l'exposition « Ici près » en donne une toute autre vision. Il est entouré de Tanja Engelberts explorant le Rhône et Sheng-Wen Lo jouant les arpenteurs camarguais. La Camargue, c'est surtout le delta de son fleuve et Yohanne Lamoulère propose d'y entreprendre un voyage entre étrangeté et réalisme. Non loin de là, aux Saintes-Maries-de-la-Mer, « Lumières des Saintes » explore l'histoire de ce pélérinage à travers documents d'archives et regard de grands photographes.
L'exploration dépasse le territoire régional pour se consacrer au monde : l'Iran avec Hannah Darabie, l'Amérique avec Gregory Crewdson et Saul Leiter pour revenir à Sète avec Agnès Varda qui y a photographié le vie locale du quatier populaire de La Pointe Courte avant de réaliser le premier long-métrage du même nom.
L'expérimentation traverse également le champ des expositions avec le "scrapbook" dont l'origine de la pratique anglo-saxonne mêle la tradition de l'album photo au journal intime pour prendre une forme trés cinématographique ou avec la manipulation du médium photographique de Zofia Kulik qui vient construire une nouvelle identité féminine pleine de symboles. Aux confins de l'expédition et de l'expérience des premiers inventeurs, Roberto Huarcaya convoque dans une pratique nocturne la technique du photogramme pour jouer de nos sens dans la représentation de la forêt tropicale péruvienne tandis que Juliette Agnel invite au mystère de nos origines dans les cryptoportiques, lieux antiques investis pour la première fois par le festival.
Enfin, une exposition convoque les pays nordiques et la découverte d'une scène féminine méconnue, de l'après-guerre à l'époque contemporaine, où une certaine idée de la sororité se déploie au travers des regards de 17 photographes. C'est d'ailleurs l'artiste finlandaise Emma Sarpaniemi qui signe l'affiche de cette 54e édition du Festival avec son autoportrait. (d'après la préface "Un état de conscience" de Christopher Wiesnier, directeur des Rencontres)
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Arles 2023 : les Rencontres de la photographie ; [exposition, Arles, 3 juillet-24 septembre 2023] [texte imprimé] / Rencontres internationales de la photographie (54; 2023; Arles), Auteur ; Christoph WIESNER, Directeur de publication . - Arles : Actes Sud, 2023 . - 1 vol. (355 p.) : ill. en coul. ; 26 cm. ISBN : 978-2-330-18008-9 : 48 EUR Langues : Français ( fre)
| Catégories : |
CREWDSON Gregory
EXPOSITION
PHOTOGRAPHIE
RENCONTRES D'ARLES 2023
TERRITOIRE
VARDA Agnès
WENDERS Wim
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| Index. décimale : |
770.74 PHOTOGRAPHIE. Catalogues d'exposition |
| Résumé : |
Le festival en collaboration avec la Cité de l'Anthropocène de Lyon s'est lancé pour cette 54e édition dans l'exploration du territoire arlésien et de son écosystème. Scientifiques, chercheurs, penseurs et artistes sont partis à sa découverte afin d'en faire un état des lieux.
L'exploration du territoire peut prendre de multiples formes, ainsi l'exposition « Soleil Gris » d'Eric Tabuchi et Nelly Monnier présente un corpus territorial issu du travail au long cours de l'Atlas des Régions Naturelles. L'enquête sur la zone industrielle, autrefois fleuron de la modernité de Tarascon, menée par Mathieu Asselin au coeur de l'exposition « Ici près » en donne une toute autre vision. Il est entouré de Tanja Engelberts explorant le Rhône et Sheng-Wen Lo jouant les arpenteurs camarguais. La Camargue, c'est surtout le delta de son fleuve et Yohanne Lamoulère propose d'y entreprendre un voyage entre étrangeté et réalisme. Non loin de là, aux Saintes-Maries-de-la-Mer, « Lumières des Saintes » explore l'histoire de ce pélérinage à travers documents d'archives et regard de grands photographes.
L'exploration dépasse le territoire régional pour se consacrer au monde : l'Iran avec Hannah Darabie, l'Amérique avec Gregory Crewdson et Saul Leiter pour revenir à Sète avec Agnès Varda qui y a photographié le vie locale du quatier populaire de La Pointe Courte avant de réaliser le premier long-métrage du même nom.
L'expérimentation traverse également le champ des expositions avec le "scrapbook" dont l'origine de la pratique anglo-saxonne mêle la tradition de l'album photo au journal intime pour prendre une forme trés cinématographique ou avec la manipulation du médium photographique de Zofia Kulik qui vient construire une nouvelle identité féminine pleine de symboles. Aux confins de l'expédition et de l'expérience des premiers inventeurs, Roberto Huarcaya convoque dans une pratique nocturne la technique du photogramme pour jouer de nos sens dans la représentation de la forêt tropicale péruvienne tandis que Juliette Agnel invite au mystère de nos origines dans les cryptoportiques, lieux antiques investis pour la première fois par le festival.
Enfin, une exposition convoque les pays nordiques et la découverte d'une scène féminine méconnue, de l'après-guerre à l'époque contemporaine, où une certaine idée de la sororité se déploie au travers des regards de 17 photographes. C'est d'ailleurs l'artiste finlandaise Emma Sarpaniemi qui signe l'affiche de cette 54e édition du Festival avec son autoportrait. (d'après la préface "Un état de conscience" de Christopher Wiesnier, directeur des Rencontres)
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