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Titre : C'est la vie ! : Vanités de Pompéi à Damien Hirst [exposition, Paris, Musée Maillol, 3 février - 28 juin 2010] Type de document : texte imprimé Auteurs : Fondation Dina Vierny-Musée Maillol (Paris), Auteur ; Patrizia NITTI, Commissaire d'exposition ; Claudio STRINATI, Commissaire d'exposition ; Alain TAPIE, Commissaire d'exposition Editeur : Paris : Skira-Flammarion Année de publication : 2010 Importance : 1 vol. (299 p.) Présentation : ill. en coul. et en noir et blanc Format : 29 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-08-123792-6 Prix : 40 EUR Note générale : Bibliographie Langues : Français (fre) Catégories : EXPOSITION C'EST LA VIE !
MORT
VANITEIndex. décimale : 704.31 THEMES DE REPRESENTATION. Natures mortes/Vanités Résumé : La mort, et alors ? La civilisation occidentale, à Pompéi comme dans l'antiquité gréco-romaine, a interrogé notre fin dernière en multipliant les figurations du corps humain post-mortem.
Memento mori : souviens-toi que tu vas mourir, disait-on à Rome. Mais c'est au XVIIe siècle, entre l'austérité de la Réforme protestante aux Pays-Bas et le dramatisme du style baroque naissant en Italie, qu'apparaît la Vanité. Art entièrement dévolu à la tête de mort et au squelette, cette édification morale et personnelle sur le caractère illusoire et vain des biens de ce monde connaît une très grande diffusion, dépassant les Hollandais pour s'insinuer dans l'oeuvre de Caravage, de Zurbaran ou de Georges de La Tour. Cézanne marque à nouveau l'irruption d'un macabre délivré de tout pathos dans la peinture moderne, autorisant Picasso et les surréalistes à en tracer de nouveaux contours. À la fin du XXe siècle, des néo-Pop aux Young British Artists, et des néo-fauves allemands aux graffitistes new-yorkais, l'art le plus contemporain s'est attaché à cristalliser la vanité d'une civilisation. De Pompéi à Damien Hirst, « C'est la vie ! » rend compte des métamorphoses d'une mort qui nous va si bien. À l'heure de la disparition de l'espèce programmée. (note de l'éditeur)C'est la vie ! : Vanités de Pompéi à Damien Hirst [exposition, Paris, Musée Maillol, 3 février - 28 juin 2010] [texte imprimé] / Fondation Dina Vierny-Musée Maillol (Paris), Auteur ; Patrizia NITTI, Commissaire d'exposition ; Claudio STRINATI, Commissaire d'exposition ; Alain TAPIE, Commissaire d'exposition . - Paris : Skira-Flammarion, 2010 . - 1 vol. (299 p.) : ill. en coul. et en noir et blanc ; 29 cm.
ISBN : 978-2-08-123792-6 : 40 EUR
Bibliographie
Langues : Français (fre)
Catégories : EXPOSITION C'EST LA VIE !
MORT
VANITEIndex. décimale : 704.31 THEMES DE REPRESENTATION. Natures mortes/Vanités Résumé : La mort, et alors ? La civilisation occidentale, à Pompéi comme dans l'antiquité gréco-romaine, a interrogé notre fin dernière en multipliant les figurations du corps humain post-mortem.
Memento mori : souviens-toi que tu vas mourir, disait-on à Rome. Mais c'est au XVIIe siècle, entre l'austérité de la Réforme protestante aux Pays-Bas et le dramatisme du style baroque naissant en Italie, qu'apparaît la Vanité. Art entièrement dévolu à la tête de mort et au squelette, cette édification morale et personnelle sur le caractère illusoire et vain des biens de ce monde connaît une très grande diffusion, dépassant les Hollandais pour s'insinuer dans l'oeuvre de Caravage, de Zurbaran ou de Georges de La Tour. Cézanne marque à nouveau l'irruption d'un macabre délivré de tout pathos dans la peinture moderne, autorisant Picasso et les surréalistes à en tracer de nouveaux contours. À la fin du XXe siècle, des néo-Pop aux Young British Artists, et des néo-fauves allemands aux graffitistes new-yorkais, l'art le plus contemporain s'est attaché à cristalliser la vanité d'une civilisation. De Pompéi à Damien Hirst, « C'est la vie ! » rend compte des métamorphoses d'une mort qui nous va si bien. À l'heure de la disparition de l'espèce programmée. (note de l'éditeur)Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité Etat L000010839 704.31 FON Ouvrage Limoges - Bibliothèque/Documentation 0 THEMES DE REPRESENTATION Disponible Les Cahiers de médiologie, 16. Eternel éphémère / Paris : Fayard (2003)
Titre de série : Les Cahiers de médiologie, 16 Titre : Eternel éphémère Type de document : texte imprimé Auteurs : Karine DOUPLITZKY, Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Paris : Fayard Année de publication : 2003 Importance : 1 vol. (256 p.) Présentation : ill. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-213-61677-3 Prix : 18 EUR Langues : Français (fre) Catégories : FLUXUS
LAND ART
MEMOIRE
MODE
PHOTOGRAPHIE
TEMPORALITE
TEMPS
VANITEIndex. décimale : 100 PHILOSOPHIE / ESSAIS Résumé : Dans le numéro " Communiquer/Transmettre ", les médiologues avaient opposé le temps long au temps court, en revalidant l'idée d'institution, en questionnant les dérives du " tout communicationnel ". Peuvent-ils aujourd'hui prendre le parti de l'écume... contre le durable et le résistant ? C'est le pari de ce numéro. L'éphémère - ce qui étymologiquement dure un jour - s'inscrit dans les mémoires plus fermement qu'il n'y paraît, telle une photographie transformant l'instant capturé en souvenir.
Sur les pas de Chris Marker, dans Sans Soleil qui affirme que " l'oubli n'est pas le contraire de la mémoire, mais son envers ", postulons que l'éphémère n'est pas le contraire de la transmission, mais son envers. Son indispensable compagnon. Pensons-le dans la métaphore de l'amour, fulguration et promesse, à la frontière du maintenant et du toujours. Quand l'éphémère se couple à l'intensité d'un instant, il s'extrait du temps et, paradoxalement, s'inscrit dans l'éternité : par sa puissance d'évocation, il transmet une émotion...
jusqu'à susciter un manque, persistant. Ainsi l'éphémère laisse-t-il des traces, ne serait-ce que celles de sa disparition, qui stimulent l'espoir d'une réapparition. Traces symboliques, d'une part, dans ce hors-temps d'intensité, peut-être plus stimulant que la courbe répétitive du quotidien. Traces matérielles, d'autre part, dans l'effort de nos sociétés pour archiver et immortaliser. Ephémère, un joli mot, aérien, qui sonne comme insouciance, absence, moins.
Voire ! Faut-il rappeler les réalités : trop plein des déchets, accumulation des papiers, inflation des archives, gonflement des traces ? Lourd est l'éphémère. Le paradoxe est flagrant : rien ne prend davantage de temps que la fabrication du temps court. En témoignent la mode, le marketing, l'événementiel, la Bourse... (note de l'éditeur)Les Cahiers de médiologie, 16. Eternel éphémère [texte imprimé] / Karine DOUPLITZKY, Directeur de publication, rédacteur en chef . - Paris : Fayard, 2003 . - 1 vol. (256 p.) : ill. ; 24 cm.
ISBN : 978-2-213-61677-3 : 18 EUR
Langues : Français (fre)
Catégories : FLUXUS
LAND ART
MEMOIRE
MODE
PHOTOGRAPHIE
TEMPORALITE
TEMPS
VANITEIndex. décimale : 100 PHILOSOPHIE / ESSAIS Résumé : Dans le numéro " Communiquer/Transmettre ", les médiologues avaient opposé le temps long au temps court, en revalidant l'idée d'institution, en questionnant les dérives du " tout communicationnel ". Peuvent-ils aujourd'hui prendre le parti de l'écume... contre le durable et le résistant ? C'est le pari de ce numéro. L'éphémère - ce qui étymologiquement dure un jour - s'inscrit dans les mémoires plus fermement qu'il n'y paraît, telle une photographie transformant l'instant capturé en souvenir.
Sur les pas de Chris Marker, dans Sans Soleil qui affirme que " l'oubli n'est pas le contraire de la mémoire, mais son envers ", postulons que l'éphémère n'est pas le contraire de la transmission, mais son envers. Son indispensable compagnon. Pensons-le dans la métaphore de l'amour, fulguration et promesse, à la frontière du maintenant et du toujours. Quand l'éphémère se couple à l'intensité d'un instant, il s'extrait du temps et, paradoxalement, s'inscrit dans l'éternité : par sa puissance d'évocation, il transmet une émotion...
jusqu'à susciter un manque, persistant. Ainsi l'éphémère laisse-t-il des traces, ne serait-ce que celles de sa disparition, qui stimulent l'espoir d'une réapparition. Traces symboliques, d'une part, dans ce hors-temps d'intensité, peut-être plus stimulant que la courbe répétitive du quotidien. Traces matérielles, d'autre part, dans l'effort de nos sociétés pour archiver et immortaliser. Ephémère, un joli mot, aérien, qui sonne comme insouciance, absence, moins.
Voire ! Faut-il rappeler les réalités : trop plein des déchets, accumulation des papiers, inflation des archives, gonflement des traces ? Lourd est l'éphémère. Le paradoxe est flagrant : rien ne prend davantage de temps que la fabrication du temps court. En témoignent la mode, le marketing, l'événementiel, la Bourse... (note de l'éditeur)Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité Etat L000014811 100 Cah Ouvrage Limoges - Bibliothèque/Documentation 0 SCIENCES HUMAINES Disponible 14203 711-8749/2003 Ouvrage Limoges - Bibliothèque/Documentation 0 SCIENCES HUMAINES Disponible
Titre : Les choses : une histoire de la nature morte [exposition, Paris, Musée du Louvre, 12 octobre 2022 - 23 janvier 2023] Type de document : texte imprimé Auteurs : Musée du Louvre (Paris), Collectivité éditrice ; Laurence BERTRAND-DORLEAC (1957-....), Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Paris : Lienart éditions Année de publication : 2022 Autre Editeur : Paris : Louvre Éditions Importance : 1 vol. (447 p.) Présentation : ill. en coul., couv. ill. en coul. Format : 29 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35031-754-0 Prix : 39 EUR Note générale : Accompagne l'exposition présentée à Paris, au musée du Louvre, du 12 octobre 2022 au 23 janvier 2023
BibliographieLangues : Français (fre) Catégories : ACCUMULATION
ART CONTEMPORAIN
HISTOIRE DE L'ART
NATURE MORTE
OBJET
VANITEIndex. décimale : 704.31 THEMES DE REPRESENTATION. Natures mortes/Vanités Résumé : Ce catalogue est une formidable plongée au coeur des choses depuis les débuts de lhumanité. Les artistes ont été les premiers à prendre les choses au sérieux. Ils les ont représentées de multiples manières. Ils les ont rendues vivantes et intéressantes en mettant en valeur leur forme, leur signification, leur pouvoir, leur charme. Ils ont saisi leur faculté de nous faire imaginer, penser, croire, douter, rêver, agir. Leurs représentations montrent que la frontière nen finit pas de changer entre ce qui est chose et ce qui ne lest pas, entre le vivant et le non-vivant. Les choses parlent delles et de nous réunis dans un même monde. Par leurs textes inspirés, plus de deux cents auteurs nous font entrer dans lunivers singulier des choses. Le chosier, composé de textes et de dessins contemporains, nous offre le panorama des sensibilités de notre époque, où tous les savoirs sont invités : lhistoire de lart, lhistoire, la philosophie, la littérature, la poésie, le droit, léconomie, la gastronomie, le design ou la botanique. Sous couvert de parler des choses, cet ouvrage nous en dit long sur nous. (note de l'éditeur) Les choses : une histoire de la nature morte [exposition, Paris, Musée du Louvre, 12 octobre 2022 - 23 janvier 2023] [texte imprimé] / Musée du Louvre (Paris), Collectivité éditrice ; Laurence BERTRAND-DORLEAC (1957-....), Directeur de publication, rédacteur en chef . - Paris : Lienart éditions : Paris : Louvre Éditions, 2022 . - 1 vol. (447 p.) : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 29 cm.
ISBN : 978-2-35031-754-0 : 39 EUR
Accompagne l'exposition présentée à Paris, au musée du Louvre, du 12 octobre 2022 au 23 janvier 2023
Bibliographie
Langues : Français (fre)
Catégories : ACCUMULATION
ART CONTEMPORAIN
HISTOIRE DE L'ART
NATURE MORTE
OBJET
VANITEIndex. décimale : 704.31 THEMES DE REPRESENTATION. Natures mortes/Vanités Résumé : Ce catalogue est une formidable plongée au coeur des choses depuis les débuts de lhumanité. Les artistes ont été les premiers à prendre les choses au sérieux. Ils les ont représentées de multiples manières. Ils les ont rendues vivantes et intéressantes en mettant en valeur leur forme, leur signification, leur pouvoir, leur charme. Ils ont saisi leur faculté de nous faire imaginer, penser, croire, douter, rêver, agir. Leurs représentations montrent que la frontière nen finit pas de changer entre ce qui est chose et ce qui ne lest pas, entre le vivant et le non-vivant. Les choses parlent delles et de nous réunis dans un même monde. Par leurs textes inspirés, plus de deux cents auteurs nous font entrer dans lunivers singulier des choses. Le chosier, composé de textes et de dessins contemporains, nous offre le panorama des sensibilités de notre époque, où tous les savoirs sont invités : lhistoire de lart, lhistoire, la philosophie, la littérature, la poésie, le droit, léconomie, la gastronomie, le design ou la botanique. Sous couvert de parler des choses, cet ouvrage nous en dit long sur nous. (note de l'éditeur) Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité Etat L000021521 704.31 LOU Ouvrage Limoges - Bibliothèque/Documentation 0 THEMES DE REPRESENTATION Sorti jusqu'au 22/02/2023
[article]
Titre : Denis Laget : le temps retenu Type de document : texte imprimé Auteurs : Romain MATHIEU, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 42-46 Langues : Français (fre) Anglais (eng) Catégories : ART CONTEMPORAIN
LAGET Denis
NATURE MORTE
PEINTURE
VANITERésumé : depuis quelque trente années, Denis Laget peint des natures mortes, des portraits, des paysages, des fleurs, des oiseaux... sujets en apparence"classiques" de l'histoire de l'art. Romain Mathieu, qui s'est rendu à son exposition au FRAC Auvergne à Clermont-Ferrand, y décèle pourtant une ambiguïté, un trouble, entre horreur et beauté, une volonté de saisir un monde qui fuit.
in Art Press > n°471 + 2e cahier (Novembre 2019) . - p. 42-46[article] Denis Laget : le temps retenu [texte imprimé] / Romain MATHIEU, Auteur . - 2019 . - p. 42-46.
Langues : Français (fre) Anglais (eng)
in Art Press > n°471 + 2e cahier (Novembre 2019) . - p. 42-46
Catégories : ART CONTEMPORAIN
LAGET Denis
NATURE MORTE
PEINTURE
VANITERésumé : depuis quelque trente années, Denis Laget peint des natures mortes, des portraits, des paysages, des fleurs, des oiseaux... sujets en apparence"classiques" de l'histoire de l'art. Romain Mathieu, qui s'est rendu à son exposition au FRAC Auvergne à Clermont-Ferrand, y décèle pourtant une ambiguïté, un trouble, entre horreur et beauté, une volonté de saisir un monde qui fuit. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité Etat L000019244 R Revue Limoges - Bibliothèque/Documentation PERIODIQUES Disponible L000019245 R Revue Limoges - Bibliothèque/Documentation PERIODIQUES Disponible
Titre : Éphémère Type de document : texte imprimé Auteurs : Bernard CHAMBAZ, Auteur Editeur : Paris : Stock Année de publication : 2020 Collection : Ma nuit au musée, ISSN 2649-3241 Importance : 1 vol. (232 p.) Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-234-08829-0 Langues : Français (fre) Catégories : COLLECTION
ITALIE
LITTERATURE
MUSEE
NUIT
OEUVRE D'ART
VANITEIndex. décimale : 800 LITTERATURE Résumé : Romancier, poète, historien, Bernard Chambaz a choisi de passer « sa » nuit dans le musée de Franco Maria Ricci, tout près de Parme.
Franco Maria Ricci fut l'âme et la cheville ouvrière de la prestigieuse revue FMR dont Fellini disait qu'elle était « la perle noire » de l'édition. Dans son musée, qui rassemble ses collections d'uvres d'art et dont la première pièce est une Jaguar, il a adjoint un labyrinthe de bambous qui est le plus grand labyrinthe au monde. C'est lui qui veille aujourd'hui, vieilli, sur ce domaine.
L'écrivain s'est lancé avec joie dans ce projet, qui lui permettait de replonger aux origines d'une passion italienne increvable. Une joie qui ne l'a pas quitté et qui irrigue ces pages pourtant confrontées à des réalités plutôt rudes. Que ce soient les tableaux d'Antonio Ligabue qui le bouleversent par un autoportrait et un tigre où se révèlent sa folie et son innocence ; les « memento mori », ces vanités qui nous rappellent « Souviens-toi que tu vas mourir », même si elles font la paire avec les Carpe diem.
Au cours de cette nuit, Bernard Chambaz croise de nombreuses vies qui tissent son récit. Celle de Franco Maria Ricci, jeune puis vieillissant, qui suscite une tendresse timide. Celle des écrivains qui lui ont donné des textes, comme Borgès ou Giono et Zavattini. Celle de Donizetti dont on avait volé la calotte crânienne lors de son autopsie. Celle de Clelia Marchi, une paysanne de 72 ans qui écrivit à lencre sur le drap nuptial lhistoire, ou celle du bottier Ferragamo qui commença comme petit cordonnier. (note de l'éditeur)Éphémère [texte imprimé] / Bernard CHAMBAZ, Auteur . - Paris : Stock, 2020 . - 1 vol. (232 p.) ; 19 cm. - (Ma nuit au musée, ISSN 2649-3241) .
ISBN : 978-2-234-08829-0
Langues : Français (fre)
Catégories : COLLECTION
ITALIE
LITTERATURE
MUSEE
NUIT
OEUVRE D'ART
VANITEIndex. décimale : 800 LITTERATURE Résumé : Romancier, poète, historien, Bernard Chambaz a choisi de passer « sa » nuit dans le musée de Franco Maria Ricci, tout près de Parme.
Franco Maria Ricci fut l'âme et la cheville ouvrière de la prestigieuse revue FMR dont Fellini disait qu'elle était « la perle noire » de l'édition. Dans son musée, qui rassemble ses collections d'uvres d'art et dont la première pièce est une Jaguar, il a adjoint un labyrinthe de bambous qui est le plus grand labyrinthe au monde. C'est lui qui veille aujourd'hui, vieilli, sur ce domaine.
L'écrivain s'est lancé avec joie dans ce projet, qui lui permettait de replonger aux origines d'une passion italienne increvable. Une joie qui ne l'a pas quitté et qui irrigue ces pages pourtant confrontées à des réalités plutôt rudes. Que ce soient les tableaux d'Antonio Ligabue qui le bouleversent par un autoportrait et un tigre où se révèlent sa folie et son innocence ; les « memento mori », ces vanités qui nous rappellent « Souviens-toi que tu vas mourir », même si elles font la paire avec les Carpe diem.
Au cours de cette nuit, Bernard Chambaz croise de nombreuses vies qui tissent son récit. Celle de Franco Maria Ricci, jeune puis vieillissant, qui suscite une tendresse timide. Celle des écrivains qui lui ont donné des textes, comme Borgès ou Giono et Zavattini. Celle de Donizetti dont on avait volé la calotte crânienne lors de son autopsie. Celle de Clelia Marchi, une paysanne de 72 ans qui écrivit à lencre sur le drap nuptial lhistoire, ou celle du bottier Ferragamo qui commença comme petit cordonnier. (note de l'éditeur)Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité Etat L000020226 800 CHA Ouvrage Limoges - Bibliothèque/Documentation 0 LITTERATURE/POESIE Disponible PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkSEXY ET SANS COMPLEXES : LA PEINTURE FIGURATIVE AUJOURD'HUI / Judicaël LAVRADOR in Beaux-arts magazine, 380 (Février 2016)
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PermalinkPermalinkVanitas , vanitatis in Beaux-arts magazine, 81 (Juillet 1990)
PermalinkPermalinkLes vanités dans l'art contemporain / Paris : Flammarion (2005)
PermalinkLes Vanités dans la peinture au XVIIe siècle / Musée des Beaux-Arts (Caen) / Paris : Albin Michel (1990)
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