Les bords de la fiction / Jacques RANCIERE / Paris : Éditions du Seuil (2017)

Public ISBD Titre : Les bords de la fiction Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques RANCIERE, Auteur Editeur : Paris : Éditions du Seuil Année de publication : 2017 Collection : La Librairie du XXIe siècle Importance : 1 vol. (189 p.) Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-02-129655-6 Prix : 21 EUR Note générale : Index Langues : Français (fre) Catégories : FICTION LITTERATURE PHILOSOPHIE POLITIQUE Index. décimale : 100 PHILOSOPHIE / ESSAIS Résumé : On le sait depuis Aristote : ce qui distingue la fiction de l'expérience ordinaire, ce n'est pas un défaut de réalité mais un surcroît de rationalité. Elle dédaigne en effet l'ordinaire des choses qui arrivent les unes après les autres pour montrer comment l'inattendu advient, le bonheur se transforme en malheur et l'ignorance en savoir. Cette rationalité fictionnelle a subi à l'âge moderne un destin contradictoire. La science sociale a étendu à l'ensemble des rapports humains le modèle d'enchaînement causal qu'elle réservait aux actions d'êtres choisis. La littérature, à l'inverse, l'a remis en cause pour se mettre au rythme du quotidien quelconque et des existences ordinaires et s'installer sur le bord extrême qui sépare ce qu'il y a de ce qui arrive. Dans les fictions avouées de la littérature comme dans les fictions inavouées de la politique, de la science sociale ou du journalisme, il s'agit toujours de construire les formes perceptibles et pensables d'un monde commun. De Stendhal à João Guimarães Rosa ou de Marx à Sebald, en passant par Balzac, Poe, Maupassant, Proust, Rilke, Conrad, Auerbach, Faulkner et quelques autres, ce livre explore ces constructions au bord du rien et du tout. En un temps où la médiocre fiction nommée " information " prétend saturer le champ de l'actuel avec ses feuilletons éculés de petits arrivistes à l'assaut du pouvoir sur fond de récits immémoriaux d'atrocités lointaines, une telle recherche peut contribuer à élargir l'horizon des regards et des pensées sur ce qu'on appelle un monde et sur les manières de l'habiter. (note de l'éditeur) Les bords de la fiction [texte imprimé] / Jacques RANCIERE, Auteur . - Paris : Éditions du Seuil, 2017 . - 1 vol. (189 p.) ; 23 cm. - (La Librairie du XXIe siècle) . ISBN : 978-2-02-129655-6 : 21 EUR Index Langues : Français (fre) Catégories : FICTION LITTERATURE PHILOSOPHIE POLITIQUE Index. décimale : 100 PHILOSOPHIE / ESSAIS Résumé : On le sait depuis Aristote : ce qui distingue la fiction de l'expérience ordinaire, ce n'est pas un défaut de réalité mais un surcroît de rationalité. Elle dédaigne en effet l'ordinaire des choses qui arrivent les unes après les autres pour montrer comment l'inattendu advient, le bonheur se transforme en malheur et l'ignorance en savoir. Cette rationalité fictionnelle a subi à l'âge moderne un destin contradictoire. La science sociale a étendu à l'ensemble des rapports humains le modèle d'enchaînement causal qu'elle réservait aux actions d'êtres choisis. La littérature, à l'inverse, l'a remis en cause pour se mettre au rythme du quotidien quelconque et des existences ordinaires et s'installer sur le bord extrême qui sépare ce qu'il y a de ce qui arrive. Dans les fictions avouées de la littérature comme dans les fictions inavouées de la politique, de la science sociale ou du journalisme, il s'agit toujours de construire les formes perceptibles et pensables d'un monde commun. De Stendhal à João Guimarães Rosa ou de Marx à Sebald, en passant par Balzac, Poe, Maupassant, Proust, Rilke, Conrad, Auerbach, Faulkner et quelques autres, ce livre explore ces constructions au bord du rien et du tout. En un temps où la médiocre fiction nommée " information " prétend saturer le champ de l'actuel avec ses feuilletons éculés de petits arrivistes à l'assaut du pouvoir sur fond de récits immémoriaux d'atrocités lointaines, une telle recherche peut contribuer à élargir l'horizon des regards et des pensées sur ce qu'on appelle un monde et sur les manières de l'habiter. (note de l'éditeur)

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L000017985	100 RAN	Ouvrage	Limoges - Bibliothèque	0 SCIENCES HUMAINES	Disponible

Une histoire universelle des ruines / Alain SCHNAPP / Paris : Éditions du Seuil (2020)

Public ISBD Titre : Une histoire universelle des ruines : des origines aux Lumières Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain SCHNAPP, Auteur Editeur : Paris : Éditions du Seuil Année de publication : 2020 Collection : La Librairie du XXIe siècle Importance : 1 vol. (722 p.) Présentation : ill. en noir et en coul. Format : 30 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-02-128250-4 Prix : 49 EUR Note générale : Bibliogr. p. 661-[696]. Index Langues : Français (fre) Catégories : ANTIQUITE ARCHEOLOGIE ARCHITECTURE CHINE CIVILISATION EUROPE HISTOIRE HISTOIRE DE L'ART ISLAM MEMOIRE MONUMENT PATRIMOINE RUINE Index. décimale : 940 HISTOIRE DU MONDE MODERNE Résumé : Il n'existe pas plus d'hommes sans mémoire que de sociétés sans ruines. Cette « Histoire universelle des ruines » vise à élucider le rapport indissoluble que chaque civilisation entretient avec elles. L'Egypte ancienne confie la mémoire de ses souverains à des monuments gigantesques et à des inscriptions imposantes. D'autres sociétés préfèrent pactiser avec le temps, comme les Mésopotamiens, conscients de la vulnérabilité de leurs palais de briques crues, qui enterrent dans le sol leurs inscriptions commémoratives. Les Chinois de l'Antiquité et du Moyen Âge remettent le souvenir de leurs rois et de leurs grands hommes à des inscriptions sur pierre et sur bronze dont les antiquaires scrupuleux collectent les estampages. D'autres encore, les Japonais du sanctuaire d'Isé, détruisent puis reconstruisent à l'identique, en un cycle infini, leurs architectures de bois et de chaume. Ailleurs, dans le monde celtique et en Scandinavie, comme dans le monde arabo-musulman , ce sont les poètes ou les bardes qui ont la charge d'entretenir la mémoire. Les Grecs et les Romains considèrent les ruines comme un mal nécessaire qu'il faut apprendre à interpréter pour les maîtriser. Le monde médiéval occidental affrontera l'héritage antique avec une admiration fortement teintée de répulsion. Face à cette tradition, la Renaissance entreprend un retour d'un type nouveau à l'Antiquité, considérée comme un modèle du présent qu'il faut imiter pour mieux le dépasser. Les Lumières enfin bâtissent une conscience universelle des ruines qui s'est imposée à nous comme le "culte moderne des monuments" : un dialogue avec les ruines qui se veut universel et dont ce livre porte témoignage. Passant d'une civilisation l'autre, Alain Schnapp, historien et archéologue, s'appuie autant sur des sources archéologiques que sur la poésie. Magnifiquement illustrée, cette somme est l'oeuvre d'une vie. (4e de couverture) Une histoire universelle des ruines : des origines aux Lumières [texte imprimé] / Alain SCHNAPP, Auteur . - Paris : Éditions du Seuil, 2020 . - 1 vol. (722 p.) : ill. en noir et en coul. ; 30 cm. - (La Librairie du XXIe siècle) . ISBN : 978-2-02-128250-4 : 49 EUR Bibliogr. p. 661-[696]. Index Langues : Français (fre) Catégories : ANTIQUITE ARCHEOLOGIE ARCHITECTURE CHINE CIVILISATION EUROPE HISTOIRE HISTOIRE DE L'ART ISLAM MEMOIRE MONUMENT PATRIMOINE RUINE Index. décimale : 940 HISTOIRE DU MONDE MODERNE Résumé : Il n'existe pas plus d'hommes sans mémoire que de sociétés sans ruines. Cette « Histoire universelle des ruines » vise à élucider le rapport indissoluble que chaque civilisation entretient avec elles. L'Egypte ancienne confie la mémoire de ses souverains à des monuments gigantesques et à des inscriptions imposantes. D'autres sociétés préfèrent pactiser avec le temps, comme les Mésopotamiens, conscients de la vulnérabilité de leurs palais de briques crues, qui enterrent dans le sol leurs inscriptions commémoratives. Les Chinois de l'Antiquité et du Moyen Âge remettent le souvenir de leurs rois et de leurs grands hommes à des inscriptions sur pierre et sur bronze dont les antiquaires scrupuleux collectent les estampages. D'autres encore, les Japonais du sanctuaire d'Isé, détruisent puis reconstruisent à l'identique, en un cycle infini, leurs architectures de bois et de chaume. Ailleurs, dans le monde celtique et en Scandinavie, comme dans le monde arabo-musulman , ce sont les poètes ou les bardes qui ont la charge d'entretenir la mémoire. Les Grecs et les Romains considèrent les ruines comme un mal nécessaire qu'il faut apprendre à interpréter pour les maîtriser. Le monde médiéval occidental affrontera l'héritage antique avec une admiration fortement teintée de répulsion. Face à cette tradition, la Renaissance entreprend un retour d'un type nouveau à l'Antiquité, considérée comme un modèle du présent qu'il faut imiter pour mieux le dépasser. Les Lumières enfin bâtissent une conscience universelle des ruines qui s'est imposée à nous comme le "culte moderne des monuments" : un dialogue avec les ruines qui se veut universel et dont ce livre porte témoignage. Passant d'une civilisation l'autre, Alain Schnapp, historien et archéologue, s'appuie autant sur des sources archéologiques que sur la poésie. Magnifiquement illustrée, cette somme est l'oeuvre d'une vie. (4e de couverture)

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L000020230	940 SCH	Ouvrage	Limoges - Bibliothèque	0 HISTOIRE/GEOGRAPHIE	Disponible

L'infra-ordinaire / Georges PEREC / Paris : Éditions du Seuil (1989)

Public ISBD Titre : L'infra-ordinaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Georges PEREC (1936-1982), Auteur Editeur : Paris : Éditions du Seuil Année de publication : 1989 Collection : La Librairie du XXIe siècle Importance : 1 vol. (121 p.) Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-02-010899-7 Prix : 14 EUR Langues : Français (fre) Catégories : BANAL LITTERATURE ORDINAIRE QUOTIDIEN Index. décimale : 800 LITTERATURE Résumé : « Les journaux parlent de tout, sauf du journalier. Les journaux m'ennuient, ils ne m'apprennent rien. [...] Ce qui se passe vraiment, ce que nous vivons, le reste, tout le reste, où est-il ? Ce qui se passe chaque jour et qui revient chaque jour, le banal, le quotidien, l'évident, le commun, l'ordinaire, le bruit de fond, l'habituel, comment en rendre compte, comment l'interroger, comment le décrire ? [...] Peut-être s'agit-il de fonder enfin notre propre anthropologie : celle qui parlera de nous, qui ira chercher en nous ce que nous avons si longtemps pillé chez les autres. Non plus l'exotique, mais l'endotique. » Georges Perec. L'infra-ordinaire [texte imprimé] / Georges PEREC (1936-1982), Auteur . - Paris : Éditions du Seuil, 1989 . - 1 vol. (121 p.) ; 18 cm. - (La Librairie du XXIe siècle) . ISBN : 978-2-02-010899-7 : 14 EUR Langues : Français (fre) Catégories : BANAL LITTERATURE ORDINAIRE QUOTIDIEN Index. décimale : 800 LITTERATURE Résumé : « Les journaux parlent de tout, sauf du journalier. Les journaux m'ennuient, ils ne m'apprennent rien. [...] Ce qui se passe vraiment, ce que nous vivons, le reste, tout le reste, où est-il ? Ce qui se passe chaque jour et qui revient chaque jour, le banal, le quotidien, l'évident, le commun, l'ordinaire, le bruit de fond, l'habituel, comment en rendre compte, comment l'interroger, comment le décrire ? [...] Peut-être s'agit-il de fonder enfin notre propre anthropologie : celle qui parlera de nous, qui ira chercher en nous ce que nous avons si longtemps pillé chez les autres. Non plus l'exotique, mais l'endotique. » Georges Perec.

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L000021085	800 PER	Ouvrage	Limoges - Bibliothèque	0 LITTERATURE/POESIE	Disponible

Lieux / Georges PEREC / Paris : Éditions du Seuil (2022)

Public ISBD Titre : Lieux Type de document : texte imprimé Auteurs : Georges PEREC (1936-1982), Auteur ; Jean-Luc JOLY, Préfacier, etc. ; Sylvia RICHARDSON, Préfacier, etc. ; Claude BURGELIN, Préfacier, etc. Editeur : Paris : Éditions du Seuil Année de publication : 2022 Collection : La Librairie du XXIe siècle Importance : 1 vol. (567 p.) Présentation : ill. en n. et bl. et en coul. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-02-111409-6 Prix : 29 EUR Note générale : Tableaux synoptiques des lieux Langues : Français (fre) Catégories : LIEU LITTERATURE PEREC Georges Index. décimale : 800 LITTERATURE Résumé : Ce [...] livre est parti d'une idée assez monstrueuse, mais, je pense, assez exaltante. J'ai choisi à Paris, douze lieux, des rues, des places, des carrefours, liés à des souvenirs, à des énénements ou à des moments importants de mon existence. Chaque mois, je décris deux de ces lieux ; une première fois, sur place (dans un café ou dans la rue même) je décris "ce que je vois" de la manière la plus neutre possible, j'énumère les magasins, quelques détails d'architecture, quelques micro-événements (une voiture de pompiers qui passe, une dame qui attache son chien avant d'entrer dans une charcuterie, un déménagement, des affiches, des gens, etc.) ; une deuxième fois, n'importe où (chez moi, au café, au bureau) je décris le lieu de mémoire, j'évoque les souvenirs qui lui sont liés, les gens que j'y ai connus, etc. Chaque texte [...] est, une fois terminé, enfermé dans une enveloppe que je cachette à la cire. Au bout d'un an, j'aurai décrit chacun de mes lieux deux fois, une fois sur le mode du souvenir, une fois sur place de description réelle. Je recommence ainsi pendant douze ans [...]. J'ai commencé en janvier 1969 ; j'aurai fini en décembre 1980 ! j'ouvrirai alors les deux cent quatre vingt huit enveloppes cachetées [...]. Je n'ai pas une idée très claire du résultat final, mais je pense qu'on y verra tout à la fois le vieillissement des lieux, le vieillissement de mon écriture, le vieillissement de mes souvenirs : le temps retrouvé se confond avec le temps perdu ; le temps s'accroche à ce projet, en constitue la structure et la contrainte ; le livre n'est plus restitution d'un temps passé, mais mesure du temps qui s'écoule ; le temps de l'écriture, qui était jusqu'à présent un temps pour rien, un temps mort, que l'on feignait d'ignorer ou que l'on ne restituait qu'arbitrairement (L'Emploi du temps), qui restait toujours à côté du livre (même chez Proust), deviendra ici l'axe essentiel. Je n'ai pas encore de titre pour ce projet ; ce pourrait être Loci Soli (ou Soli Loci) ou, plus implement, Lieux (4e de couv.) Lieux [texte imprimé] / Georges PEREC (1936-1982), Auteur ; Jean-Luc JOLY, Préfacier, etc. ; Sylvia RICHARDSON, Préfacier, etc. ; Claude BURGELIN, Préfacier, etc. . - Paris : Éditions du Seuil, 2022 . - 1 vol. (567 p.) : ill. en n. et bl. et en coul. ; 24 cm. - (La Librairie du XXIe siècle) . ISBN : 978-2-02-111409-6 : 29 EUR Tableaux synoptiques des lieux Langues : Français (fre) Catégories : LIEU LITTERATURE PEREC Georges Index. décimale : 800 LITTERATURE Résumé : Ce [...] livre est parti d'une idée assez monstrueuse, mais, je pense, assez exaltante. J'ai choisi à Paris, douze lieux, des rues, des places, des carrefours, liés à des souvenirs, à des énénements ou à des moments importants de mon existence. Chaque mois, je décris deux de ces lieux ; une première fois, sur place (dans un café ou dans la rue même) je décris "ce que je vois" de la manière la plus neutre possible, j'énumère les magasins, quelques détails d'architecture, quelques micro-événements (une voiture de pompiers qui passe, une dame qui attache son chien avant d'entrer dans une charcuterie, un déménagement, des affiches, des gens, etc.) ; une deuxième fois, n'importe où (chez moi, au café, au bureau) je décris le lieu de mémoire, j'évoque les souvenirs qui lui sont liés, les gens que j'y ai connus, etc. Chaque texte [...] est, une fois terminé, enfermé dans une enveloppe que je cachette à la cire. Au bout d'un an, j'aurai décrit chacun de mes lieux deux fois, une fois sur le mode du souvenir, une fois sur place de description réelle. Je recommence ainsi pendant douze ans [...]. J'ai commencé en janvier 1969 ; j'aurai fini en décembre 1980 ! j'ouvrirai alors les deux cent quatre vingt huit enveloppes cachetées [...]. Je n'ai pas une idée très claire du résultat final, mais je pense qu'on y verra tout à la fois le vieillissement des lieux, le vieillissement de mon écriture, le vieillissement de mes souvenirs : le temps retrouvé se confond avec le temps perdu ; le temps s'accroche à ce projet, en constitue la structure et la contrainte ; le livre n'est plus restitution d'un temps passé, mais mesure du temps qui s'écoule ; le temps de l'écriture, qui était jusqu'à présent un temps pour rien, un temps mort, que l'on feignait d'ignorer ou que l'on ne restituait qu'arbitrairement (L'Emploi du temps), qui restait toujours à côté du livre (même chez Proust), deviendra ici l'axe essentiel. Je n'ai pas encore de titre pour ce projet ; ce pourrait être Loci Soli (ou Soli Loci) ou, plus implement, Lieux (4e de couv.)

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L000021481	800 PER	Ouvrage	Limoges - Bibliothèque	0 LITTERATURE/POESIE	Disponible

La ruse du tableau / Hubert DAMISCH / Paris : Éditions du Seuil (2016)  

Public ISBD Titre : La ruse du tableau : la peinture ou ce qu'il en reste Type de document : texte imprimé Auteurs : Hubert DAMISCH Editeur : Paris : Éditions du Seuil Année de publication : 2016 Collection : La Librairie du XXIe siècle Importance : 1 vol. (245 p.) Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-02-124561-5 Prix : 20 EUR Catégories : ECRIT SUR L'ART HISTOIRE DE L'ART HISTOIRE DE LA PEINTURE PEINTURE TABLEAU Index. décimale : 701 ART THEORIE Résumé : Dans ce livre, Hubert Damisch explore l'histoire de la peinture : du premier tableau peint par Brunelleschi au début du Quattocentro, jusqu’à Cy Twombly en passant par Piet Mondrian, cette histoire se présente bien comme celle des jeux que l’artiste a élaboré avec son propre cadre : qu’il s’agisse de créer de la perspective dans l’espace donné, de créer un espace dans un espace ; ou qu’il s’agisse de repousser les frontières du cadre imposé à coups de coulées rageuses de peinture ; ou qu’il s’agisse encore de jouer sur la matière même du tableau, de lui donner du relief en triturant la pâte. On peut voir dans tous ces jeux l’image même de l’art : le fait de créer à partir de règles imposées, de limites infranchissables mais que l’on s’emploie à frôler ou même à transgresser. En ligne : https://critiquedart.revues.org/25526 La ruse du tableau : la peinture ou ce qu'il en reste [texte imprimé] / Hubert DAMISCH . - Paris : Éditions du Seuil, 2016 . - 1 vol. (245 p.) ; 23 cm. - (La Librairie du XXIe siècle) . ISBN : 978-2-02-124561-5 : 20 EUR Catégories : ECRIT SUR L'ART HISTOIRE DE L'ART HISTOIRE DE LA PEINTURE PEINTURE TABLEAU Index. décimale : 701 ART THEORIE Résumé : Dans ce livre, Hubert Damisch explore l'histoire de la peinture : du premier tableau peint par Brunelleschi au début du Quattocentro, jusqu’à Cy Twombly en passant par Piet Mondrian, cette histoire se présente bien comme celle des jeux que l’artiste a élaboré avec son propre cadre : qu’il s’agisse de créer de la perspective dans l’espace donné, de créer un espace dans un espace ; ou qu’il s’agisse de repousser les frontières du cadre imposé à coups de coulées rageuses de peinture ; ou qu’il s’agisse encore de jouer sur la matière même du tableau, de lui donner du relief en triturant la pâte. On peut voir dans tous ces jeux l’image même de l’art : le fait de créer à partir de règles imposées, de limites infranchissables mais que l’on s’emploie à frôler ou même à transgresser. En ligne : https://critiquedart.revues.org/25526

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L000017281	701 DAM	Ouvrage	Limoges - Bibliothèque	0 ART USUELS ET THEORIE	Disponible