Détail d'une collection
|
Documents disponibles dans la collection (6)
Ajouter le résultat dans votre panier Faire une suggestion Affiner la recherche
Constituer l'Europe / Bernard STIEGLER / Paris : Galilée (2005)
Titre : Constituer l'Europe : 1. Dans un monde sans vergogne Type de document : texte imprimé Auteurs : Bernard STIEGLER, Auteur ; Jean-Marc ADOLPHE, Collaborateur ; Jean-Marc LACHAUD, Collaborateur ; Catherine GEEL, Collaborateur ; Ariel KYROU, Collaborateur Editeur : Paris : Galilée Année de publication : 2005 Collection : Débats Importance : 128p Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7186-0689-7 Prix : 19 € Langues : Français (fre) Catégories : EUROPE
POLITIQUE
SOCIETEIndex. décimale : 100 PHILOSOPHIE / ESSAIS Résumé : La construction et la constitution de l'Europe visent à créer un nouveau processus d'individuation psychique et collective au sein duquel puissent se co-individuer des processus d'individuation déjà existants : les nations européennes. Parce qu'ont muté, du fait du développement technologique, les conditions générales de l'individuation à travers l'ensemble du monde industrialisé, il y a aujourd'hui à faire converger les processus d'individuation nationaux, en Europe et partout sur la Terre, vers des processus continentaux et supranationaux : la nation n'est plus un cadre autosuffisant pour assurer de bonnes conditions d'individuation à ses habitants. Mais d'autre part, l'individuation psychique et collective industrielle issue du capitalisme contemporain est devenue autodestructrice. Car elle est rongée par le contre processus d'une ruineuse désublimation, induite par une baisse tendancielle de l'énergie libidinale que détruit sa captation par les médias de masse : c'est le " temps de cerveau disponible " devenu une marchandise comme les autres - ce dont parle M. Le Lay sans vergogne, exhibant ainsi le règne d'une grande misère symbolique et d'une démotivation généralisée. Le modèle industriel dominant tend en effet à détruire cette vergogne dont les Grecs anciens, qui la nommaient aidôs, posaient qu'elle est, avec la justice (dikè), et comme principe sublime, la condition de toute constitution politique. L'Europe ne se constituera qu'à la condition de lutter contre ce qui, dans la société industrielle, conduit à la désublimation comme liquidation de toute vergogne. Cette analyse est développée dans le présent ouvrage sur le plan d'une économie politique et par des considérations de politique industrielle : la protection de la vergogne n'est plus une simple question de morale, ou de " valeurs ", mais d'organisation des échanges symboliques, c'est-à-dire d'abord, de nos jours, d'organisation industrielle de la production et de la consommation. Constituer l'Europe : 1. Dans un monde sans vergogne [texte imprimé] / Bernard STIEGLER, Auteur ; Jean-Marc ADOLPHE, Collaborateur ; Jean-Marc LACHAUD, Collaborateur ; Catherine GEEL, Collaborateur ; Ariel KYROU, Collaborateur . - Paris : Galilée, 2005 . - 128p ; 22 cm. - (Débats) .
ISBN : 978-2-7186-0689-7 : 19 €
Langues : Français (fre)
Catégories : EUROPE
POLITIQUE
SOCIETEIndex. décimale : 100 PHILOSOPHIE / ESSAIS Résumé : La construction et la constitution de l'Europe visent à créer un nouveau processus d'individuation psychique et collective au sein duquel puissent se co-individuer des processus d'individuation déjà existants : les nations européennes. Parce qu'ont muté, du fait du développement technologique, les conditions générales de l'individuation à travers l'ensemble du monde industrialisé, il y a aujourd'hui à faire converger les processus d'individuation nationaux, en Europe et partout sur la Terre, vers des processus continentaux et supranationaux : la nation n'est plus un cadre autosuffisant pour assurer de bonnes conditions d'individuation à ses habitants. Mais d'autre part, l'individuation psychique et collective industrielle issue du capitalisme contemporain est devenue autodestructrice. Car elle est rongée par le contre processus d'une ruineuse désublimation, induite par une baisse tendancielle de l'énergie libidinale que détruit sa captation par les médias de masse : c'est le " temps de cerveau disponible " devenu une marchandise comme les autres - ce dont parle M. Le Lay sans vergogne, exhibant ainsi le règne d'une grande misère symbolique et d'une démotivation généralisée. Le modèle industriel dominant tend en effet à détruire cette vergogne dont les Grecs anciens, qui la nommaient aidôs, posaient qu'elle est, avec la justice (dikè), et comme principe sublime, la condition de toute constitution politique. L'Europe ne se constituera qu'à la condition de lutter contre ce qui, dans la société industrielle, conduit à la désublimation comme liquidation de toute vergogne. Cette analyse est développée dans le présent ouvrage sur le plan d'une économie politique et par des considérations de politique industrielle : la protection de la vergogne n'est plus une simple question de morale, ou de " valeurs ", mais d'organisation des échanges symboliques, c'est-à-dire d'abord, de nos jours, d'organisation industrielle de la production et de la consommation. Réservation
Réserver ce document
Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité L000011835 100 STI Ouvrage Limoges - Bibliothèque 0 SCIENCES HUMAINES Disponible La Folie du voir / Christine BUCI-GLUCKSMANN / Paris : Galilée (2002)
Titre : La Folie du voir : une esthétique du virtuel Type de document : texte imprimé Auteurs : Christine BUCI-GLUCKSMANN, Auteur Editeur : Paris : Galilée Année de publication : 2002 Collection : Débats Importance : 1 vol.(271 p.) Format : 25 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7186-0599-9 Prix : 37 € Langues : Français (fre) Catégories : BAROQUE
ESTHETIQUE
PHILOSOPHIE DE L'ART
TECHNOLOGIEIndex. décimale : 100 PHILOSOPHIE / ESSAIS Résumé : Que le virtuel et l’œil technologique mondial constituent aujourd'hui une nouvelle folie du voir, que l'on peut déchiffrer à partir des modèles baroques et modernistes, tel est l'enjeu de ce parcours dans l'immanence du regard. Entre Icare et Protée, l'artifice devient abstract et artefact, art des surfaces et des enveloppes propres à tous les sexes virtuels et à toutes les topologies fluides de l'art comme de l'architecture. Le baroque rêvait d'un œil qui se voyait lui-même à l'infini, le virtuel l'a accompli.
Aussi cet oeil-monde est-il inséparable d'une théorie de l'image, l'image flux. Mettant en crise toute mimesis ontologique et tout modèle cristallin, elle ne « voit » pas le temps. Elle est le temps, dans ses dispositifs, ses effets et ses affects. Ce temps fluide, machinique et éphémère, suscite un travail intersensoriel de l'imagination propre à une esthétique post-duchampienne. Une esthétique des transparences et des fluidités qui est aussi une éthique, voire une politique. Car, dans cet icarisme temporel de tous les trajets, souffle désormais une tempête. Celle de Shakespeare, entre pré- et post-humain.La Folie du voir : une esthétique du virtuel [texte imprimé] / Christine BUCI-GLUCKSMANN, Auteur . - Paris : Galilée, 2002 . - 1 vol.(271 p.) ; 25 cm. - (Débats) .
ISBN : 978-2-7186-0599-9 : 37 €
Langues : Français (fre)
Catégories : BAROQUE
ESTHETIQUE
PHILOSOPHIE DE L'ART
TECHNOLOGIEIndex. décimale : 100 PHILOSOPHIE / ESSAIS Résumé : Que le virtuel et l’œil technologique mondial constituent aujourd'hui une nouvelle folie du voir, que l'on peut déchiffrer à partir des modèles baroques et modernistes, tel est l'enjeu de ce parcours dans l'immanence du regard. Entre Icare et Protée, l'artifice devient abstract et artefact, art des surfaces et des enveloppes propres à tous les sexes virtuels et à toutes les topologies fluides de l'art comme de l'architecture. Le baroque rêvait d'un œil qui se voyait lui-même à l'infini, le virtuel l'a accompli.
Aussi cet oeil-monde est-il inséparable d'une théorie de l'image, l'image flux. Mettant en crise toute mimesis ontologique et tout modèle cristallin, elle ne « voit » pas le temps. Elle est le temps, dans ses dispositifs, ses effets et ses affects. Ce temps fluide, machinique et éphémère, suscite un travail intersensoriel de l'imagination propre à une esthétique post-duchampienne. Une esthétique des transparences et des fluidités qui est aussi une éthique, voire une politique. Car, dans cet icarisme temporel de tous les trajets, souffle désormais une tempête. Celle de Shakespeare, entre pré- et post-humain.Réservation
Réserver ce document
Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité L000013644 100 BUC Ouvrage Limoges - Bibliothèque 0 SCIENCES HUMAINES Disponible L'Oeil cartographique de l'art / Christine BUCI-GLUCKSMANN / Paris : Galilée (1996)
Titre : L'Oeil cartographique de l'art Type de document : texte imprimé Auteurs : Christine BUCI-GLUCKSMANN, Auteur Editeur : Paris : Galilée Année de publication : 1996 Collection : Débats Importance : 178 pages Format : 25 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7186-0467-1 Prix : 185 F Note générale :
Langues : Français (fre) Catégories : CARTE
ECRIT SUR L'ART
REGARDIndex. décimale : 100 PHILOSOPHIE / ESSAIS Résumé : Ce livre est l'histoire d'un voyage et d'un regard qui prend la carte géographique du monde comme motif et comme modèle artistique d'une esthétique ouverte sur l'infini. Aussi la reconstitution de l'art, cartographie, débouche-t-elle sur un autre oeil-monde, celui du virtuel. Redéfinir une esthétique de l'immanence dans un monde habité de toutes violences, tel pourrait être un des enjeux de l'oeil éphémère propre à notre présent.
L'Oeil cartographique de l'art [texte imprimé] / Christine BUCI-GLUCKSMANN, Auteur . - Paris : Galilée, 1996 . - 178 pages ; 25 cm. - (Débats) .
ISBN : 978-2-7186-0467-1 : 185 F
Langues : Français (fre)
Catégories : CARTE
ECRIT SUR L'ART
REGARDIndex. décimale : 100 PHILOSOPHIE / ESSAIS Résumé : Ce livre est l'histoire d'un voyage et d'un regard qui prend la carte géographique du monde comme motif et comme modèle artistique d'une esthétique ouverte sur l'infini. Aussi la reconstitution de l'art, cartographie, débouche-t-elle sur un autre oeil-monde, celui du virtuel. Redéfinir une esthétique de l'immanence dans un monde habité de toutes violences, tel pourrait être un des enjeux de l'oeil éphémère propre à notre présent.
Réservation
Réserver ce document
Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 8704 100 BUC Ouvrage Limoges - Bibliothèque 0 SCIENCES HUMAINES Disponible Philosophie de l'ornement / Christine BUCI-GLUCKSMANN / Paris : Galilée (2008)
Titre : Philosophie de l'ornement : d'Orient en Occident Type de document : texte imprimé Auteurs : Christine BUCI-GLUCKSMANN, Auteur Editeur : Paris : Galilée Année de publication : 2008 Collection : Débats Importance : 178 pages, table Présentation : ill. noir et blanc Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7186-0761-0 Prix : 29 € Langues : Français (fre) Catégories : ORNEMENT
PHILOSOPHIEIndex. décimale : 100 PHILOSOPHIE / ESSAIS Résumé : L'ornement est-il un crime ou un style? C'est en ces termes que s'ouvrit à Vienne la scène qui décida de son statut au XXe siècle: d'un côté, sa condamnation par Loos et par tout le modernisme au nom de la pureté, et, de l'autre, l'élaboration d'une stylistique, de Riegl à Worringer, ou Deleuze.
Développer aujourd'hui une "philosophie de l'ornement", c'est donc revenir sur ses enjeux et ses refoulés: ligne courbe du féminin, décor et exotisme de tous les Orients ou parures "primitives". Aussi cette philosophie prend-elle la forme d'un voyage dans l'ornemental, de Vienne à Tokyo. Car il s'agit de déjouer les visions dualistes d'un Orient radicalement autre" pour mieux confronter l'ornementalisme islamique ou japonais à certains moments privilégiés de la modernité, qu'il s'agisse du cogito ornemental de Venise, de Fontainebleau et de toutes les " manières ", ou du modernisme américain.
Cette réinterprétation de la modernité "décorative", revendiquée par Matisse et Klee, traverse les frontières établies entre le pur et l'impur, l'art noble et l'art mineur, le masculin et le féminin, l'abstrait et le décoratif, pour dégager une esthétique transversale propre à l'articulation des différences culturelles d'une pensée postcoloniale. C'est pourquoi, à l'heure de la mondialisation, cette philosophie de l'ornement relève d'une culture de la fluidité et d'un "ornement de masse" qui exige une nouvelle théorie de l'artificiel et une philosophie du style" réinventée.
Mais, à devenir virtuel, l'ornement, à travers toutes ses singularités culturelles et anthropologiques, ne devient-il pas aussi, ou surtout, universel?Philosophie de l'ornement : d'Orient en Occident [texte imprimé] / Christine BUCI-GLUCKSMANN, Auteur . - Paris : Galilée, 2008 . - 178 pages, table : ill. noir et blanc ; 24 cm. - (Débats) .
ISBN : 978-2-7186-0761-0 : 29 €
Langues : Français (fre)
Catégories : ORNEMENT
PHILOSOPHIEIndex. décimale : 100 PHILOSOPHIE / ESSAIS Résumé : L'ornement est-il un crime ou un style? C'est en ces termes que s'ouvrit à Vienne la scène qui décida de son statut au XXe siècle: d'un côté, sa condamnation par Loos et par tout le modernisme au nom de la pureté, et, de l'autre, l'élaboration d'une stylistique, de Riegl à Worringer, ou Deleuze.
Développer aujourd'hui une "philosophie de l'ornement", c'est donc revenir sur ses enjeux et ses refoulés: ligne courbe du féminin, décor et exotisme de tous les Orients ou parures "primitives". Aussi cette philosophie prend-elle la forme d'un voyage dans l'ornemental, de Vienne à Tokyo. Car il s'agit de déjouer les visions dualistes d'un Orient radicalement autre" pour mieux confronter l'ornementalisme islamique ou japonais à certains moments privilégiés de la modernité, qu'il s'agisse du cogito ornemental de Venise, de Fontainebleau et de toutes les " manières ", ou du modernisme américain.
Cette réinterprétation de la modernité "décorative", revendiquée par Matisse et Klee, traverse les frontières établies entre le pur et l'impur, l'art noble et l'art mineur, le masculin et le féminin, l'abstrait et le décoratif, pour dégager une esthétique transversale propre à l'articulation des différences culturelles d'une pensée postcoloniale. C'est pourquoi, à l'heure de la mondialisation, cette philosophie de l'ornement relève d'une culture de la fluidité et d'un "ornement de masse" qui exige une nouvelle théorie de l'artificiel et une philosophie du style" réinventée.
Mais, à devenir virtuel, l'ornement, à travers toutes ses singularités culturelles et anthropologiques, ne devient-il pas aussi, ou surtout, universel?Réservation
Réserver ce document
Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité L000013723 100 BUC Ouvrage Limoges - Bibliothèque 0 SCIENCES HUMAINES Disponible SOLEIL IMMATERIEL / Démosthènes DAVVETAS / Paris : Galilée (1989)
Titre : SOLEIL IMMATERIEL : Chemin dans l'art contemporain Type de document : texte imprimé Auteurs : Démosthènes DAVVETAS Mention d'édition : PARIS Editeur : Paris : Galilée Année de publication : 1989 Collection : Débats Importance : 153 pages ISBN/ISSN/EAN : 2-7186-0348-8 Prix : 88 Note générale : Langue : FRANCAIS
Langues : Français (fre) Catégories : BASELITZ Georg
BASQUIAT Jean Michel
BEUYS Joseph
BOLTANSKI Christian
CRAGG Tony
CUCCHI Enzo
ECRIT SUR L'ART CONTEMPORAIN
GERZ Jochen
LE GAC Jean
MERZ Mario
RAYNAUD Jean-Pierre
TWOMBLY CyIndex. décimale : 701 ART THEORIE Résumé : Davvetas interroge dans ce livre les grands artistes de son temps et sans doute parmi les plus énigmatiques:Beuys,Baselitz,Basquiat,Gragg,Twombly.......
SOLEIL IMMATERIEL : Chemin dans l'art contemporain [texte imprimé] / Démosthènes DAVVETAS . - PARIS . - Paris : Galilée, 1989 . - 153 pages. - (Débats) .
ISBN : 2-7186-0348-8 : 88
Langue : FRANCAIS
Langues : Français (fre)
Catégories : BASELITZ Georg
BASQUIAT Jean Michel
BEUYS Joseph
BOLTANSKI Christian
CRAGG Tony
CUCCHI Enzo
ECRIT SUR L'ART CONTEMPORAIN
GERZ Jochen
LE GAC Jean
MERZ Mario
RAYNAUD Jean-Pierre
TWOMBLY CyIndex. décimale : 701 ART THEORIE Résumé : Davvetas interroge dans ce livre les grands artistes de son temps et sans doute parmi les plus énigmatiques:Beuys,Baselitz,Basquiat,Gragg,Twombly.......
Réservation
Réserver ce document
Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 3639 701 DAV Ouvrage Limoges - Bibliothèque 0 ART USUELS ET THEORIE Disponible Tragique de l'ombre / Christine BUCI-GLUCKSMANN / Paris : Galilée (1990)
Permalink