Titre : |
Breton à l'avant de soi : suivi de Tant va Breton à l'avenir... et de A l'impossible tenu... |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Yves BONNEFOY, Auteur |
Editeur : |
Paris : Léo Scheer |
Année de publication : |
2001 |
Importance : |
1 vol. (116 p.) |
Format : |
19 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-84490-070-8 |
Prix : |
13,72 EUR |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
BRETON André POESIE THEORIE LITTERAIRE
|
Index. décimale : |
808.81 POESIE |
Résumé : |
Critiquer une œuvre ou une personne, replacer une poésie dans son devenir historique, avec ses contingences, ses défaillances, ses réussites aussi mais tenues dans ce cas pour de simples faits de littérature, ce n'était pas mon propos. Les grands poètes, et Breton en fut un, comme assez peu dans son siècle, méritent qu'on s'attache au meilleur de leur intuition pour en dégager la figure : laquelle, même trahie par l'inconséquence fatale, demeure leur vrai apport, demeure ce qui provoque et incite, ce qui ranime. Cessant en ce point d'essayer de dire, parfois peut-être confusément, ce que Breton signifia pour moi, je préfère me souvenir qu'il aimait par-dessus tout le vers de Rimbaud : " Mais que salubre est le vent ! " ; et mieux m'approcher de ces mots, en effet mystérieusement exaltants, en y découvrant la lumière de ce grand ciel dorage, lavé, transparent, fait pour l'existence libre, que l'auteur de Pleine marge a su reconnaître dans l'aspiration poétique. Y. B. Breton à l'avant de soi est ici suivi de Tant va Breton à l'avenir... et de A l'impossible tenu... (note de l'éditeur) |
Breton à l'avant de soi : suivi de Tant va Breton à l'avenir... et de A l'impossible tenu... [texte imprimé] / Yves BONNEFOY, Auteur . - Paris : Léo Scheer, 2001 . - 1 vol. (116 p.) ; 19 cm. ISBN : 978-2-84490-070-8 : 13,72 EUR Langues : Français ( fre)
Catégories : |
BRETON André POESIE THEORIE LITTERAIRE
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Index. décimale : |
808.81 POESIE |
Résumé : |
Critiquer une œuvre ou une personne, replacer une poésie dans son devenir historique, avec ses contingences, ses défaillances, ses réussites aussi mais tenues dans ce cas pour de simples faits de littérature, ce n'était pas mon propos. Les grands poètes, et Breton en fut un, comme assez peu dans son siècle, méritent qu'on s'attache au meilleur de leur intuition pour en dégager la figure : laquelle, même trahie par l'inconséquence fatale, demeure leur vrai apport, demeure ce qui provoque et incite, ce qui ranime. Cessant en ce point d'essayer de dire, parfois peut-être confusément, ce que Breton signifia pour moi, je préfère me souvenir qu'il aimait par-dessus tout le vers de Rimbaud : " Mais que salubre est le vent ! " ; et mieux m'approcher de ces mots, en effet mystérieusement exaltants, en y découvrant la lumière de ce grand ciel dorage, lavé, transparent, fait pour l'existence libre, que l'auteur de Pleine marge a su reconnaître dans l'aspiration poétique. Y. B. Breton à l'avant de soi est ici suivi de Tant va Breton à l'avenir... et de A l'impossible tenu... (note de l'éditeur) |
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