[article] 
inLes Cahiers du Musée national d'art moderne > 124 (Eté 2013) . - p. 100 à 117

Titre :	SIGNE PICASSO - L'ARTISTE, L'OEUVRE ET LA MARQUE
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Isabelle LIMOUSIN, Auteur
Année de publication :	2013
Article en page(s) :	p. 100 à 117
Langues :	Français (fre)
Catégories :	ECONOMIE DE L'ART MARQUE PICASSO Pablo SIGNATURE
Résumé :	Aucune signature n'est plus célèbre que celle de Picasso. Connue et identifiable par tous, elle possède un destin unique. En 1998, cette signature fait l'objet d'un contrat inédit entre les héritiers du peintre et un constructeur automobile. Citroën décide de donner le nom de Picasso à sa nouvelle voiture et la signature de l'artiste va désormais orner les ailes de la Xsara. Bertrand Lavier, alors sollicité par le Musée d'art moderne de la Ville de Paris pour la réalisation d'une carte de voeux, saisit la balle au bond et propose une photographie de l'aile paraphée, laquelle sera suivie d'une série d'oeuvres signées Picasso. Ainsi la signature de l'artiste retourne-t-elle à l'oeuvre, au musée et à l'art, et la boucle semble bouclée. Mais que signifie-t-elle lorsque, détachée de l'oeuvre et de son auteur, elle devient un signe autonome ? La signature est-elle nécessaire pour faire art ? Et un signataire pour faire artiste ?

[article] SIGNE PICASSO - L'ARTISTE, L'OEUVRE ET LA MARQUE [texte imprimé] / Isabelle LIMOUSIN, Auteur . - 2013 . - p. 100 à 117.
Langues : Français (fre)
in Les Cahiers du Musée national d'art moderne > 124 (Eté 2013) . - p. 100 à 117

Catégories :

ECONOMIE DE L'ART MARQUE PICASSO Pablo SIGNATURE

Résumé :

Aucune signature n'est plus célèbre que celle de Picasso. Connue et identifiable par tous, elle possède un destin unique. En 1998, cette signature fait l'objet d'un contrat inédit entre les héritiers du peintre et un constructeur automobile. Citroën décide de donner le nom de Picasso à sa nouvelle voiture et la signature de l'artiste va désormais orner les ailes de la Xsara. Bertrand Lavier, alors sollicité par le Musée d'art moderne de la Ville de Paris pour la réalisation d'une carte de voeux, saisit la balle au bond et propose une photographie de l'aile paraphée, laquelle sera suivie d'une série d'oeuvres signées Picasso. Ainsi la signature de l'artiste retourne-t-elle à l'oeuvre, au musée et à l'art, et la boucle semble bouclée. Mais que signifie-t-elle lorsque, détachée de l'oeuvre et de son auteur, elle devient un signe autonome ? La signature est-elle nécessaire pour faire art ? Et un signataire pour faire artiste ?