Titre :	Vers un romantisme révolutionnaire
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Henri LEFEBVRE, Auteur ; Rémi HESS (1947-....), Préfacier, etc.
Editeur :	[Fécamp] : Lignes
Année de publication :	2011
Importance :	1 vol. (78 p.)
Format :	18 cm
ISBN/ISSN/EAN :	978-2-35526-082-7
Prix :	9 EUR
Note générale :	Bibliogr. p.71-78
Langues :	Français (fre) Langues originales : Français (fre)
Catégories :	MARXISME PHILOSOPHIE REVOLUTION
Index. décimale :	100 PHILOSOPHIE / ESSAIS
Résumé :	1957 : Henri Lefebvre prend la mesure des crimes de Staline et de l'écrasement du soulèvement ouvrier de Budapest ; il rompt avec le parti communiste. Rupture éclatante dont témoigne son grand livre La Somme et le reste et cet article jamais republié depuis : "Vers un romantisme révolutionnaire". Où il dessine à grands traits l'homme nouveau qu'un tel romantisme appelle : un homme tournant le dos au dogmatisme, cessant d'être "en proie au passé". Ne séparant plus entre la politique et l'art. Demandant à l'imagination, au rêve et à la pensée de féconder la politique. Lefebvre renoue là avec l'inclination de sa jeunesse: d'une pensée libertaire proche du surréalisme. Un pont est ainsi jeté qui anticipe alors Mai 68 : "La jeunesse est en proie au possible, et le possible la dévore". Qui anticipe des possibilités pas davantage réalisées aujourd'hui. (note de l'éditeur)

Vers un romantisme révolutionnaire [texte imprimé] / Henri LEFEBVRE, Auteur ; Rémi HESS (1947-....), Préfacier, etc. . - [Fécamp] : Lignes, 2011 . - 1 vol. (78 p.) ; 18 cm.
ISBN : 978-2-35526-082-7 : 9 EUR
Bibliogr. p.71-78
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre)

Catégories :	MARXISME PHILOSOPHIE REVOLUTION
Index. décimale :	100 PHILOSOPHIE / ESSAIS
Résumé :	1957 : Henri Lefebvre prend la mesure des crimes de Staline et de l'écrasement du soulèvement ouvrier de Budapest ; il rompt avec le parti communiste. Rupture éclatante dont témoigne son grand livre La Somme et le reste et cet article jamais republié depuis : "Vers un romantisme révolutionnaire". Où il dessine à grands traits l'homme nouveau qu'un tel romantisme appelle : un homme tournant le dos au dogmatisme, cessant d'être "en proie au passé". Ne séparant plus entre la politique et l'art. Demandant à l'imagination, au rêve et à la pensée de féconder la politique. Lefebvre renoue là avec l'inclination de sa jeunesse: d'une pensée libertaire proche du surréalisme. Un pont est ainsi jeté qui anticipe alors Mai 68 : "La jeunesse est en proie au possible, et le possible la dévore". Qui anticipe des possibilités pas davantage réalisées aujourd'hui. (note de l'éditeur)