Titre : |
Élégies documentaires |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Muriel PIC, Auteur |
Editeur : |
Paris : Macula |
Année de publication : |
2016 |
Collection : |
Opus incertum, ISSN 2497-8698 |
Importance : |
1 vol. (88 p.) |
Présentation : |
ill. |
Format : |
20 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-86589-095-8 |
Prix : |
15 EUR |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
ARCHIVES DOCUMENT HISTOIRE LITTERATURE POESIE TOTALITARISME TRACE UTOPIE
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Index. décimale : |
800 LITTERATURE |
Résumé : |
« Partout il faut lire » dit Muriel Pic, mais si « la vérité est toujours en ruines », alors c'est dans ses traces qu'il faut s'aventurer. Ce qui est visé, à partir de ces traces, c'est un art documentaire, une « expérience lyrique, atmosphérique, élémentaire ». La liberté est prise d'une fiction qui s'en va à partir de restes et de poussières. L'archive devient le matériau du poème, mais « il n'est pas d'art documentaire sans chant de deuil ». Ce chant se déploie en trois parties : un montage qui conduit de l'utopie totalitaire – le centre de vacances nazi de l'île de Rügen – à l'utopie manquée d'un rêve mellifère en Palestine, puis à l'utopie anéantie d'une organisation spatiale entée sur les étoiles chez les Indiens de la Plaine. À chaque fois c'est « l'œil vivant du passé » qui nous regarde, consumant l'avenir.
Muriel Pic est critique littéraire, traductrice de l'allemand et écrivain. Elle a publié plusieurs essais sur Henri Michaux, W. G. Sebald et a traduit Walter Benjamin. Ses recherches (critique et poétique) sont toujours basées sur des archives. Docteur de l'EHESS, elle est professeur de littérature française à l'université de Berne.
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Élégies documentaires [texte imprimé] / Muriel PIC, Auteur . - Paris : Macula, 2016 . - 1 vol. (88 p.) : ill. ; 20 cm. - ( Opus incertum, ISSN 2497-8698) . ISBN : 978-2-86589-095-8 : 15 EUR Langues : Français ( fre)
Catégories : |
ARCHIVES DOCUMENT HISTOIRE LITTERATURE POESIE TOTALITARISME TRACE UTOPIE
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Index. décimale : |
800 LITTERATURE |
Résumé : |
« Partout il faut lire » dit Muriel Pic, mais si « la vérité est toujours en ruines », alors c'est dans ses traces qu'il faut s'aventurer. Ce qui est visé, à partir de ces traces, c'est un art documentaire, une « expérience lyrique, atmosphérique, élémentaire ». La liberté est prise d'une fiction qui s'en va à partir de restes et de poussières. L'archive devient le matériau du poème, mais « il n'est pas d'art documentaire sans chant de deuil ». Ce chant se déploie en trois parties : un montage qui conduit de l'utopie totalitaire – le centre de vacances nazi de l'île de Rügen – à l'utopie manquée d'un rêve mellifère en Palestine, puis à l'utopie anéantie d'une organisation spatiale entée sur les étoiles chez les Indiens de la Plaine. À chaque fois c'est « l'œil vivant du passé » qui nous regarde, consumant l'avenir.
Muriel Pic est critique littéraire, traductrice de l'allemand et écrivain. Elle a publié plusieurs essais sur Henri Michaux, W. G. Sebald et a traduit Walter Benjamin. Ses recherches (critique et poétique) sont toujours basées sur des archives. Docteur de l'EHESS, elle est professeur de littérature française à l'université de Berne.
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